La naufragée de la route (7)
Datte: 16/04/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Elyne, Source: Xstory
... gros que le précédent est entré dans ma si petite intimité si facilement...
Il me demande de le sucer… sa bite est encore bien plus grosse que ce sextoy qu’il tient en main !
Je ne veux plus le fâcher car ses punitions sont trop… intenses ! Il faut dire aussi que l’intrus me procure de nouvelles sensations de plaisir...
Alors je vais m’ appliquer pour la fellation qu’il me demande de faire.
J’ouvre la bouche.. Mes lèvres sont imprégnées de ma bave provoquée par le bâillon boule enlevé quelques secondes plus tôt. Je viens poser mes lèvres sur son gland et j’engloutis doucement son énorme gland violacé. Je me retire et ma langue vient s’amuser à son tour sur sa tige dressée comme un énorme mat de bateau ! Je le suce par alternance… un coup avec ma langue un coup avec mes lèvres. J’aspire le gland comme si c’était la dernière chose que je devais faire par désir avant de mourir.
Je sens qu’il apprécie car son corps réagit avec de minuscules tremblements. Mais la… pendant que je m’applique à le sucer comme une reine… des vibrations envahissent mon anus. La douleur s’accentue mais laisse place petit à petit à un nouveau plaisir. De nouvelles sensations que mon corps apprécie car je sens de nouveau ma mouille couler comme jamais le long de ma chatte… allant même s’égarer sur mes cuisses. Mon esprit me rappelle que mon cul est comblé par un énorme gode, j’imagine ma rondelle dilatée et grande ouverte jouant avec les vibrations de ce dernier.
Je continue de le ...
... sucer comme jamais et je me dis que dorénavant je ne lui désobéirai plus….
GERMAIN
Elyne me suce comme une reine depuis de nombreuses minutes. Elle est réellement douée pour la fellation, et elle fera bientôt le bonheur de mes amis !
Je ne cherche pas à retarder outre mesure mon plaisir, car je sens qu’elle est à bout de force. Lorsque sa langue revient sur mon gland, l’entourant de caresses humides, agaçant mon méat, je ne réfrène pas l’orgasme que je sens monter. Je me tétanise, je pousse quelques grognements, et je libère dans la bouche d’Elyne un torrent de foutre.
C’est délicieux. Elle hoquette, s’étouffe, mais elle est immobilisée par le carcan, et je ne lui fais pas grâce d’une goutte de ma semence.
Et cette fois, je la libère vraiment. Elle se relève, et je la trouve encore plus bandante, nue, son visage barbouillé de sperme, ses nichons marqués par les pinces.
Nous quittons le donjon, et je la ramène dans sa chambre.
— Repose toi, reprends des forces, lui dis-je. Je vais te monter à manger. Il faut que tu sois en pleine possession de tes moyens, pour ta première soirée avec mes amis. Ne les déçois pas ! Tu le regretterais longtemps.
Et je sors, en refermant la porte à clé.
ELYNE
Je suis si épuisée, mon corps a été si soumis à ces gestes sadiques. Mon anus me fait si mal.. Il n’a jamais été si sollicité avant ça. Avant lui… avant Monsieur Germain… avant mon maître !
Mais ce qui me fait si peur maintenant sont les dernières paroles de mon ...