La naufragée de la route (7) - Histoires de Sexe

La naufragée de la route (7)

... quelques accessoires, qui te mettront en condition, et qui te permettront de ressentir toute ta soumission.

Je prends dans un tiroir trois pinces, reliées par des chaînes, et je m’approche d’Elyne. Comme la veille, je fais saillir ses tétons, et je les coince entre les petites mâchoires d’acier, que je sers jusqu’à la faire crier. Puis c’est au tour de son clito. Je le stimule, pour le faire émerger de son étui, et je le coince entre les pinces. Cette fois, Elyne hurle, et des larmes roulent sur ses joues.

Je n’en ai pas fini. Je sors du tiroir un bijou anal, plus gros que celui que j’avais inséré dans l’anus d’Elyne hier. Je glisse ma main entre ses cuisses, pour recueillir sa cyprine, et je trouve ses petites lèvres trempées.

— Décidément, tu aimes ce que je te fais, petite salope. Tu mouilles ! Tant mieux, ça n’en sera que plus agréable pour toi.

Ma main remonte entre ses fesses, que j’écarte. Son petit œillet plissé est là, palpitant, dans l’attente de ce que je vais lui faire subir.

ELYNE

Non ! S’il vous plaît ! Ne touchez pas à mes fesses  ! Je vous l’ai déjà dit maître… cette entrée n’a jamais été explorée avant ! Faites ce que vous voulez… mais par pitié… laissez mon anus tranquille ! Je prononçais ces mots alors qu’au fond de moi j’en avais terriblement envie...

Le gode si volumineux qu’il tient dans sa main me fait pourrant si peur ! Jamais il ne rentrera… oh.. Non ! Il s’approche de ma rondelle avec un sourire…

GERMAIN

Je fais tourner ...

... doucement un doigt, autour de la rosette de ma belle Elyne. Avec la mouille qui le lubrifie, il s’enfonce sans grande difficulté dans ce petit trou tout serré, et le gémissement d’Elyne semble traduire davantage un plaisir refoulé, qu’une vraie douleur.

Les choses plus sérieuses arrivent déjà. Je crache sur mes doigts, et j’en enfonce brutalement deux dans son adorable petit cul. Elle se cabre, crie, mais rien ne peut m’attendrir. Bientôt, ils disparaissent en entier, entre les deux globes fermes de ses fesses.

Je fais coulisser mes doigts. Je les tourne. Je les écarte pour dilater son fourreau. Elyne geint, feule, et déjà je plonge un troisième doigt dans son cul. Je poursuis patiemment mon travail, jusqu’à ce que sa rosette soit dilatée à son maximum – maximum pour l’instant, car je projette de la sodomiser avec des engins bien plus gros...

Alors, j’enfonce le plug dans son anus bien ouvert. Et enfin, je vais chercher un bâillon boule. Je ne crains pas que les cris de ma soumise alertent le voisinage, mais une femme bâillonnée est bien plus expressive, sur un plan artistique. Je force Elyne à ouvrir la bouche, et je place la boule de silicone entre ses dents, avant de serrer le lien de cuir derrière sa nuque.

Elyne est prête, et je commence par la mitrailler, avec mon reflex numérique.

ELYNE

Je ne peux retenir mes larmes… mes tétons sont emprisonnés dans ces petites pinces aux mâchoires d’acier qui me procurent une douleur cuisante. Mais ce n’est rien par ...