La naufragée de la route (7) - Histoires de Sexe

La naufragée de la route (7)

GERMAIN

Rentré dans ma maison avec Elyne, après cette courte promenade en forêt, je suis bien décidé à la punir, pour avoir encore une fois osé exprimer une réaction de pudeur. Je sais qu’elle ne pourra pas s’empêcher de réagir ainsi, dans un premier temps, tant ce que j’exige d’elle transgresse tous ses principes et tous ses tabous. Mais ces châtiments sont surtout un moyen de "l’éduquer", pour en faire une parfaite soumise. Et elle a toutes les qualités pour le devenir !

Je tire Elyne par sa laisse, et je ne peux pas m’empêcher de lui jeter un regard rempli d’une certaine admiration. Qu’elle est belle, nue, humiliée, tremblante, avec les gouttes d’eau qui perlent encore sur sa peau mate ! Et cette chair de poule, qui marque tout son corps, et ces seins gonflés et durcis qui pointent outrageusement…

Elle pousse un gémissement étouffé, en réalisant que je l’entraîne vers le corridor qui conduit à mon donjon, et en sentant sous ses pieds nus le dallage froid et rugueux. Je pousse la porte de cette pièce qui la terrorise, et j’allume la lumière. Toujours cette même couleur rouge de l’éclairage, qui rend chaque objet plus inquiétant.

Je force Elyne à avancer vers la grande croix de saint André, dressée au milieu de la pièce. Je la place le dos contre la lourde pièce de bois, et j’attache ses poignets et ses chevilles à chaque extrémité des branches, en tendant au maximum les chaînes qui immobilisent ses membres.

Je contemple alors ma proie, entièrement à ma ...

... merci. L’étirement de ses bras soulève un peu plus sa magnifique poitrine, et sa chatte s’entrouvre naturellement. J’hésite à lui bander les yeux, mais j’y renonce, sachant que le fait de me voir agir décuplera sa peur et sa honte.

ELYNE

Me voilà écartelée sur une croix. Ma punition comme il me l’a dit ! Mes bras sont si tirés vers le haut que ma poitrine se soulève et se tire. Mes bras me font mal mais ce n’est rien en comparaison de la honte qui me ronge ! Je suis entièrement nue devant cet homme et je ne peux plus bouger…

C’est au tour de mes jambes… il s’amuse lentement à les attacher aussi sur cette croix ! Ma chatte s’ouvre au vu de l’écartement de mes jambes. Je lui offre en spectacle toute mon intimité ! Mais ce que je n’arrive pas à comprendre… c’est la réaction de mon corps ! Encore une fois, ce dernier me joue des tours… je sens mon antre se mouiller et ma cyprine envahir de plus en plus mes lèvres.

Quelques frissons apparaissent… mais je suis terrifiée !

Terrifiée par la lueur de son regard… Terrifiée car je ne sais pas ce qu’il va faire de moi… écartelée et à sa merci….

GERMAIN

— Je vais commencer par te prendre en photo, et par faire quelques croquis de toi, dans cette position. Ils me serviront pour de futures œuvres, comme celles que tu as pu admirer hier dans mon séjour, après ton arrivée. J’espère que tu apprécies cet honneur.

— Oui, Maître, répond Elyne d’une voix assourdie.

— Bien. Mais avant, je vais mettre en place sur ton corps ...