1. La cabine


    Datte: 16/04/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Paaron, Source: Hds

    ... dégrafe son pantalon, je reste là, comme dans la cabine, hypnotisée par ce corps qui m'attire. Elle poursuit son récit.
    
    "Il avait défait son pantalon et exibé son membre. C'était la première fois que je voyais un sexe d'homme, en érection en plus. Il commençait à se masturber, je sais ce que c'est aujourd'hui, mais à l'époque, jamais je ne m'étais encore touchée."
    
    Mon regard reste fixe, sa main recouvre sa culotte et je vois son majeur qui glisse sur la dentelle délicate. Mathilde ferme les yeux, inspire profondément, et continue à se caresser.
    
    "Toi, ne fais rien pour le moment, attends que je te le dise..."
    
    Je retire ma main de mon entre jambes. Me mordillant la lèvre.
    
    "Je ne comprenais pas ce qu'il faisait. Ce qui m'a troublée, ce furent ses gémissements. Chaque fois qu'un petit son sortait de sa bouche, je sentais un trouble physique dans mon ventre. Sans le comprendre, je ressentais une excitation nouvelle. Sa main allait et venait le long de son membre, il me semblait énorme, démesuré. Parfois il lâchait son sexe et je voyais la tension qui agitait le pénis, les fortes veines qui le parcouraient et la rougeur vive de son gland humide."
    
    Mathilde continue à se caresser, c'est une véritable torture que de se retenir. Mais je m'efforce de lui obéir tout en serrant mes cuisses, emprisonnant et stimulant mes lèvres que je devine très humides déjà.
    
    "J'ai senti une humidité dans ma culotte et j'ai été curieuse alors je me suis touchée". Mathilde baisse son ...
    ... pantalon et sa culotte. Je vois le triangle chatain de ses poils, elle mets un doigt dans sa fente et ouvre légèrement les cuisses.
    
    "Caresse toi comme je l'ai fait à l'époque".
    
    Je n'en pouvais plus... Ma main, impatiente, recouvre alors le latex de la culotte et je me caresse avec force, presque violence, tellement la tension s'était accumulée.
    
    Je gémis, impudique, sans retenue.
    
    "Chuuut! Tu ne dois pas signaler ta présence!"
    
    Je me tais immédiatement et glisse ma main sous la culotte, je trouve mon clitoris tendu et trempé, je me stimule avec délice.
    
    "C'est ce soir là que j'ai découvert à quoi me servait cette fente et tous les replis qu'on y trouve. Je continuais à le regarder, avec désir cette fois. J'aurais aimé avoir cette queue dure dans ma main et l'agiter comme il le faisait."
    
    La voix de Mathilde me transperce, son ton grave et passionné, la force de ses souvenirs, la regarder presque nue se donner du plaisir. Tout contribue à faire monter en moi une excitation rare et puissante.
    
    Mathilde a ouvert encore plus ses cuisses. Son sexe est bien différent du mien, ses petites lèvres sont très apparentes. Je devine sa main mouillée qui va et vient avec énergie. Elle plonge ensuite ses doigts dans le vagin et inspire avec force.
    
    Je me surprends à imiter tous ses gestes, mes doigts me pénètrent aussi. Nous sommes à l'unisson, dans un seul mouvement.
    
    Ma bouche est ouverte, le souffle court, je me cambre et joue avec mes doigts comme une experte.
    
    "A ...
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