La Formation
Datte: 11/04/2023,
Catégories:
fh,
fhhh,
candaul,
fsoumise,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
sm,
donjon,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... la chambre, j’ai utilisé mon traducteur pour préparer le texte en espagnol.
Il recopie. Lorsqu’il change un mot, il me précise pourquoi. Il joue le jeu.
Il n’a plus qu’à signer. Mais il se relève. Il parle à la cuisinière. Manifestement, il lui demande de sortir.
— Allonge-toi sur la table.
— Pas ici. Des gens peuvent arriver.
— C’est ici ou je ne signe pas. Obéis.
— Vous me promettez ?
— Je n’ai qu’une parole. Enlève-moi tout ça.
J’obéis. Je suis nue. Le bois de la table est rugueux. Il ouvre son pantalon, en extrait son sexe. D’une poche, il récupère un préservatif. Cet homme, même pour faire du cheval, a de quoi se protéger.
— Écarte-toi bien. Attrape tes chevilles avec tes mains.
La position est inqualifiable. J’entends un chuchotement. Je découvre deux femmes qui regardent par la porte. Je vais protester. Mais déjà, il est en face de moi. Son bâton guidé par une main, l’autre me forçant à regarder vers la porte.
— Ahhh.
Il entre. Il glisse en moi comme dans une glissade huileuse. Je mouille. Il a suffi qu’il me demande et que j’obéisse pour qu’un désir obscène me chauffe les reins. Mais quelle femme suis-je donc devenue ? Il suffit que cet homme me demande de m’allonger, de m’offrir et, sans même que je le réalise vraiment, mon cerveau commande pour me préparer.
Putain ! Mais oui, je suis une putain. Il a raison cet homme de voir derrière les apparences. Mon goût pour le sexe, depuis… Depuis aussi longtemps que je m’en souvienne… ...
... Depuis que la première queue d’homme m’a pénétrée… C’est comme s’il avait déposé une graine… Oh, pas une graine du genre « maternité », mais du genre « encore, encore ». Il est vrai que pour ma première fois j’avais été gâtée. Pas un gamin, un de ces ados pressés de cracher et de remplir sa capote, pensant que deux/trois va-et-vient suffisent, mais un homme mûr.
À sa défense, je l’avais choisi. Il ne voulait pas, ami de la famille, avec une réputation de séducteur, mais il n’avait pas pu résister à mes charmes, des charmes que, pauvre fille inconsciente, j’avais mis en avant. J’avais attendu d’être majeure. J’avais eu droit au grand jeu. Pas de ces baises rapides, mais du « calculé », du « progressif » qui m’avait défloré dans les règles de l’art. Un art qui m’avait consumé toute ma vie et qui aujourd’hui, sur cette table de cuisine, sous le regard de cuisinières moqueuses, sous les assauts d’un homme qui les invitait de la main, me consumait.
Non, pitié, pas ça ! Ne les faites pas venir. Alex a menti, nous ne sommes pas libertins. Je n’ai jamais fait cela devant d’autres. À la rigueur avec un homme, un Confort, mais pas plus. Juste pour satisfaire un besoin primaire que mon corps demandait. Rien d’autre. Pas de soirées coquines ! Pas de rencontres en couple ! Aucune perversité ! Aucune envie de…
Elles sont là. Elles regardent. Elles pouffent ! Elles se moquent ! Elles envient !
Elles regardent leur patron baiser une invitée. Elles ne peuvent ignorer que c’est une ...