Chroniques immortelles - Viracocha (1)
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Irina, Source: Xstory
... prend à deux mains par les hanches. Oh putain !
La pénétration est brutale, profonde, me faisant pousser un cri de surprise. Je jette un coup d’œil effaré alentour. Les autres indiens semblent plus embarrassés qu’autre chose. Le geste de leur compagnon les a pris de court. Et ce dernier ne perd pas de temps ! Il me baise à forte cadence, me pénétrant et se retirant de toute la longueur de sa queue. Putain ! C’est trop bon ! Ça fait plus de quatre jours que je ne me suis pas faite sauter et je commençais à être en manque ! Il me fait un bien fou, je frémis de la tète aux pieds. Mais je dois jouer le rôle que j’ai décidé.
— Non, arrêtez ! Dis-je en criant, en espérant qu’ils ne comprennent pas le français. Faites plus doucement, ou alors, pas par là, encule moi merde ! Et vous restez pas plantés comme des souches, venez me baiser aussi, qu’est-ce que vous attendez ???
Je fais semblant d’essayer de me dégager, sans y mettre de la vigueur. J’espère qu’il va continuer à me maîtriser, il me fait trop de bien ! J’essaie d’avoir l’air paniquée et horrifiée, mais c’est bien difficile ! Je me débats faiblement, je proteste pour la forme. Son bas-ventre claque sur mes fesses, me propulse en avant. Je m’écrase sur le tronc moussu de l’arbre qui me macule d’un mélange de mousse et de bois pourri. Il m’a attrapé les bras, me les tire en arrière, je ne suis plus qu’un jouet. C’est absurde, il me viole, j’adore ça, et je ne veux pas le laisser paraître !
Il me libère soudain, ...
... me pousse brutalement. Je m’écroule dans les feuilles mortes, pendant que mon violeur avec des soupirs sonores éjecte sa semence sur le tapis végétal. Puis, l’air très satisfait, il rajuste son pénis dans la cordelette qui le maintient. Des gouttes de sperme s’écoulent encore de son membre. Ah que j’aimerai aller le goûter. Merde ! Déjà fini ?
Je me suis recroquevillée sur le sol humide, tremblante apparemment d’horreur, en réalité de désir inassouvi ! Je m’essuie les yeux, pour effacer des larmes aussi fausse qu’une promesse électorale. Je veux les amener à manifester de la pitié envers moi. Ils ne sont pas d’accord entre eux. On reproche à demi-mot à mon violeur de m’avoir prise, ce dont il semble se moquer comme de sa première flèche.
D’un geste impérieux, l’un d’eux me fait signe de suivre un des guerriers qui a tourné les talons. Et comme j’hésite, on me redresse fermement en me tirant par les bras. Je leur emboîte le pas. Quelques centaines de mètres plus loin, nous débouchons sur un espace moins feuillu ou se trouvent les trois constructions que j’ai vu d’en haut. On se presse autour de nous, des femmes, des enfants, d’autres hommes, tous me dévisageant avec curiosité. Les hommes qui m’ont amené les renvoient sèchement. L’un d’eux me pousse contre un des poteaux d’une maison. Il veut que je reste là, sans bouger. Les indiens se réunissent entre eux, entament de longues palabres. Des enfants plus curieux que les adultes ont voulu s’approcher. Ils ont été dispersés ...