Une journée qui commence mal
Datte: 10/04/2023,
Catégories:
fh,
fête,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... sous-vêtements finissent sur le lit.
Elle voit son amie sortir de son sac de voyage une nouvelle robe.
Elle voit son amie la revêtir sans remettre sa lingerie. Comme moi, elle constate que cette robe est bizarre, que si elle est moulante et courte, c’est comme deux pièces de tissu reliées par des lanières sur le côté qui donne à Nadia une forme de séductrice, pire de femme « disponible ».
— Ce n’est pas un peu trop ? Tu ne remets pas tes dessous ?
— Il faut ce qu’il faut. Non, je ne les remets pas. Plus d’une fois dans le feu de l’action, je les égare et ne les retrouve pas.
Devant la surprise manifeste de mon épouse, et je ne parle pas de moi qui trouve que vraiment Nadia fait légèrement pute habillée ainsi, son amie reprend :
— Ne t’inquiète pas. Tu peux rester avec ta petite robe. J’ai vu plus d’un homme te reluquer et c’est presque mieux si tu la gardes. Ainsi ils pourront te reconnaître. Par contre, je te conseille d’enlever aussi tes sous-vêtements… Pour la même raison… Ah aussi, comme c’est ta première fois, sois vigilante pour les préservatifs. On a tendance à se laisser emporter et l’oublier.
— Nadia ? Je ne comprends pas. Tu me parles comme si… Ne me dis pas que c’est une soirée spéciale… libertine ? Oh, mon Dieu, les Duverois sont des libertins… Je ne savais pas… Pourtant on les connaît depuis longtemps… Et on a même habité chez eux.
Nadia rit franchement.
— Évidemment avec ton mari, ils n’allaient pas vous inviter. Tu l’as déjà vu en soirée ...
... ? Un vrai bonnet de nuit. Aucune conversation, si ce n’est son boulot. Je n’ai jamais vu un toubib aussi coincé. À croire qu’il a fait médecine au monastère.
— Tu exagères.
— À peine. Mais dis-moi, tu ne savais pas ? Non, tu me fais marcher ?
— Je te jure que non.
— Tout l’après-midi, tu me bassines avec ton mari. Qui ne te touche pratiquement plus ! Qui t’accuse d’avoir un amant ! Que tu es partie en disant rejoindre cet amant et passer la nuit avec lui. Moi, j’essaie de te remonter le moral. Qu’il ne sait pas qu’il a épousé la seule femme que je connaisse encore fidèle. Du coup je te propose de te joindre à moi pour la soirée. Qu’à cette soirée, il va y avoir plein de jeunes et de moins jeunes qui feront de très bons amants. Que tu pourras te venger de ce mari qui t’accuse à tort. Je crois même t’avoir dit qu’en général c’est toujours très chaud, lorsque ce sont les Duverois qui organisent.
— Justement. Jamais je n’aurais imaginé que c’était une soirée libertine.
— Pourtant tu sais bien que je suis libertine. Ce n’est pas une surprise pour toi. Alors, ne me dit pas que tu ne te doutais pas.
— Mais non. J’ai pris ton discours sur les hommes pour me remonter le moral. Pas plus. Même si le terme « très chaud » m’a étonnée, comme après tu as parlé des Duverois, j’ai imaginé juste une façon de t’exprimer.
— Eh bien non. Te voilà en plein milieu d’une soirée coquine.
— Je comprends maintenant tous ces regards, ces sourires et ces propositions de nous retrouver après le ...