1. Une journée qui commence mal


    Datte: 10/04/2023, Catégories: fh, fête, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... sur le dossier alors que Régis lui fait une levrette « appuyée ». Notre arrivée le surprend. Spontanément, il a ralenti son rythme et la femme proteste.
    
    Il nous regarde.
    
    Il me regarde détacher chaque bouton de la robe un à un.
    
    Il me regarde m’asseoir alors qu’Agnès enlève cette robe pour apparaître nue.
    
    Il la regarde s’agenouiller et s’attaquer à mon pantalon. Évidemment, je l’aide. Je croise son regard, mais il ne me reconnaît pas. Qui penserait à moi ?
    
    Mon sexe apparaît. Je bande et, déjà, cela montre à ma femme que ce n’est pas comme ces derniers temps. C’est avec une gloutonnerie coquine qu’elle me gobe.
    
    C’est bon. Tout autour de nous, ces gémissements, ces cris, ces encouragements, ces soupirs font une musique sexuelle des plus encourageantes. J’apprécie aussi la respiration de celle que Régis enfile qui est, c’est drôle, au même rythme que la bouche gourmande qui me suce.
    
    Je me retiens de tendre une main exploratrice vers cette poitrine qui pend près de moi et dont les tétons pointent comme des appâts aux caresses. Je réalise que, finalement, il est facile de se prendre au jeu, surtout dans cette ambiance feutrée.
    
    Je sens un changement. Agnès a récupéré une capote et m’enveloppe le sexe avec. Elle joue parfaitement le jeu de celle qui va se donner à un inconnu :
    
    — Venez, venez, prenez-moi.
    
    Agnès joue le rôle que je lui ai demandé. Celle d’une femme excitée par ce qu’elle a vu et aussi, par ricochet, par le léchage de Régis.
    
    Elle aussi ...
    ... monte sur le canapé et s’installe comme sa voisine. Je ne me fais pas prier pour enduire ma main de salive et la frotter sur son intimité.
    
    Je la possède. Elle se tortille. Je ne sais si c’est par provocation ou par réelle envie. Je suis dur comme du bois, une érection oubliée depuis longtemps. Je la baise. Elle couine, elle gémit elle m’encourage par des « Oui, oui… encore… plus fort… baisez-moi », toute une panoplie de mots jusque-là inconnus de son vocabulaire.
    
    Provocation ! En tout cas Régis se sent défié. Lui aussi baise sa partenaire. Elle aussi se sent encouragée par sa voisine. C’est un duo bien agréable. C’est fou comme finalement la situation est excitante. Au départ, une façon de me venger de Régis, bien que reconnaisse bien volontiers que c’est un peu grâce à lui si nous sommes là.
    
    Réel plaisir ! La voix de mon épouse n’est plus si assurée qu’au début. Si le « Venez, venez, prenez-moi » était bien articulé, ce n’est pas la même chose maintenant. On dirait que sa voix est empâtée, un peu comme prise de boisson, mais ce n’est pas le cas. Non, elle est troublée. La preuve est qu’elle regarde souvent vers sa voisine et que les deux femmes manifestement partagent leur plaisir par des regards.
    
    Sacré Régis ! Je me venge de lui, mais je devrais au contraire le remercier. Il m’a apporté la preuve que mon épouse m’était fidèle, mieux capable de résister à la tentation.
    
    Taisez-vous les grincheux, les chipoteurs. Oui Agnès s’est fait manger la chatte ! Et alors ? ...
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