Un matelot qui vogue sur l'eau (1)
Datte: 05/04/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: ropaul45, Source: Xstory
... bien mouillés de ma salive dans ma raie culière, à la recherche de mon petit trou inviolé à ce jour... Sa bouche avait repris ma queue, un instant abandonnée, et la suçait, la léchait, léchait mes couilles aussi le tout pour me tenir excité, mais sans me faire jouir. Sa main disponible caressait mes seins, jouait avec mes tétines très sensibles.
Derrière un doigt s’est infiltré dans mon conduit sans que j’aie vraiment mal. Ça me faisait un effet bizarre de le sentir bouger, entrer, sortir avant d’être rejoint par un second... Je me suis laissé faire, vraiment très excité. Je n’avais jamais connu cela... et j’aimais ! Mon amant faisait maintenant tourner ses doigts à l’intérieur pour élargir mon orifice. Jugeant que j’étais prêt et persuadé que je ne me révolterai pas, Mohamed s’est relevé, m’a couché sur le ventre, tiré sur mes hanches pour relever mes fesses et a appuyé son gland à l’entrée de mon cul. Ça m’a fait mal et je lui ai fait savoir.
— Jean, pousse comme si tu voulais faire caca, et tu verras, ça rentrera tout seul, et tu auras du plaisir.
J’ai fait ce qu’il m’a dit, lui faisant confiance, alors que je ne le connaissais pas une heure auparavant. La pression de sa queue s’est faite plus importante, j’ai essayé de me relâcher, j’ai poussé comme il me l’a dit, et j’ai senti la tête de son sexe me pénétrer et s’arrêter. Il a attendu pour me laisser m’habituer à cette présence puis a repris sa progression. Ça me faisait mal, mais c’était très ...
... supportable.
Il s’est encore arrêté, m’a caressé le dos, s’est penché pour m’embrasser dans le cou ; une de ses mains a pris mon sexe qui s’était recroquevillé et l’a malaxé en même temps que mes testicules. Puis il m’a pris par les hanches et a poursuivi sa progression jusqu’à ce que son pubis et ses poils soient contre mes fesses. Il a attendu un peu avant de repartir en sens inverse jusqu’à ressortir... Sans attendre, il est re entré jusqu’au fond d’un seul coup de reins. J’ai crié, car il m’a fait mal...
Il s’est arrêté aussitôt, m’a parlé doucement, m’appelant « ma chérie », me caressant, m’embrassant partout où notre position le permettait... la douleur s’est estompée et me sentant plus relaxé, il a fait de petits mouvements d’aller-retour, lentement, toujours en parcourant mon corps avec ses mains et en me parlant avec douceur.
J’avais de moins en moins mal, je dirais même que je sentais un peu de plaisir... sa voix me berçait. C’était étrange quand j’y repense, cinquante ans plus tard, mais sur le moment, je ne me posais pas de question philosophique !
Je profitais de ces instants, de cette découverte, de l’amour physique, moi qui étais puceau en arrivant... Devant et derrière, car je n’avais jamais eu de relation avec une femme, et encore moins avec un homme.
Mohamed, me sentant plus réceptif, a accéléré ses mouvements de pénétration, allant bien au fond. Son torse était bien décollé de mon corps, ses mains agrippaient mes hanches fortement, et il me labourait ...