Un matelot qui vogue sur l'eau (1)
Datte: 05/04/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: ropaul45, Source: Xstory
... double, d’une armoire, et d’un lit de petit enfant.
— Mais tu as plusieurs enfants ?
— Oui Jean, mais les grands dorment chez ma mère où ma femme vient de les amener. Pour l’instant, je ne peux pas payer un loyer pour une maison plus grande et celle-ci ne se compose que de ces trois pièces. La cuisine sert aussi de salle à manger et de salle de bains.
Venant d’un milieu très modeste, cela ne me choqua pas plus que ça ! Mohamed était maintenant tout contre moi et me fit tourner vers lui en m’entourant les épaules avec son bras libre, tandis que son autre main gardait toujours la mienne prisonnière. Son visage se pencha vers le mien et il m’a embrassé sur le front, la joue, le cou, la joue près de mes lèvres... je tremblais, j’avais peur, je suais ;
Il m’a fait assoir sur le bord du lit, est resté debout devant moi et sans autre forme de procès, il a ouvert sa braguette et a sorti son sexe en semi-érection. Pas gros, pas large, plutôt fin, mais assez long, plus que le mien en tous les cas. Ce qui m’a surpris le plus, c’est qu’il était circoncis, ce que je n’avais encore jamais vu, même lors des douches communes que je prenais à bord. Son gland ressortait bien au bout de la tige, alors que moi, j’avais un long prépuce...
— Regarde Jean, elle te plaît ? Tu veux bien la caresser, après, je te ramène au bateau.
Je n’ai pas bougé. J’ai fixé sa queue, sans réagir. Il a avancé un peu plus, et son sexe n’était plus qu’à une vingtaine de centimètres de mon visage. ...
... Il se caressait lentement, et la bête se raidissait petit à petit. Je me suis dit que si je ne le prenais pas en main, il me la mettrait dans ma bouche... J’ai donc avancé ma main pour mon prendre son sexe... chaud, doux comme de la soie, dur aussi, palpitant... On aurait dit qu’il était vivant. Une fois de plus, mes souvenirs d’enfance sont revenus au galop... J’ai commencé des mouvements de masturbation sur ce pénis qui devenait de plus en plus dur. Je commençais à m’exciter aussi... mon partenaire avait fermé les yeux, et sa respiration s’était un peu accélérée...
— Viens, lève-toi, dit-il en me tirant par la main. Je me suis retrouvé debout devant lui, et il m’a enlevé prestement ma vareuse, mon tricot rayé avant de s’attaquer aux quatre boutons de mon pantalon qui s’est retrouvé à mes pieds en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire... je n’en revenais pas. Je ne savais pas quelle attitude prendre. J’avais peur, mais j’étais aussi excité.
Il m’a poussé sur le lit, défait mes chaussures et achevé d’enlever pantalon et slip... Je ne bandais pas vraiment, j’étais à la fois excité, mais aussi apeuré, difficile de décrire ces sentiments contradictoires qui m’assaillaient à ce moment-là... Mohamed ne perdait pas de temps ; polo, pantalon et chaussures ont rapidement été retirés. Nous étions nus tous les deux, moi allongé en travers du lit, lui debout à me regarder avec un petit sourire.
— Mohamed, ta femme va rentrer.
— Pas tout de suite... plus tard... ne ...