1. Le souvenir d'un été (1)


    Datte: 04/04/2023, Catégories: Gay Auteur: XYaimeXX, Source: Xstory

    ... l’électricité. Il enfila un doigt dans mon cul, et de mon côté, j’émettais un petit cri de surprise, mais de bien-être aussi.
    
    — Tu aimes ma salope ? Ohh putain... Tu dois être une bonne petite baiseuse toi !
    
    Il continua à me doigter de plus en plus. Il m’ouvrait le cul doucement, mais sûrement. J’avais abandonné sa queue pour me retourner et me mettre en levrette et lui tends mes fesses, ma tête contre la banquette et je me cambre afin d’ouvrir au mieux mon petit trou.
    
    Lui de son côté avait compris que son travail donnait de l’effet, et s’appliquait à m’ouvrir en crachant par moments sur anus.
    
    Un doigt allait et venait en moi, puis deux... A chaque fois, il les sortait, les mouillait, et revenait en moi. De mon côté, je ne voyais plus rien, je n’entendais plus rien, j’étais en transe. Un nouveau plaisir envahissait mon ventre et j’en redemandais :
    
    — Ouiii vas-y, continue...
    
    — Tu aimes ça petit salope ! J’en étais sûr... Dès que je t’ai vu en boîte, je savais que tu aimais te faire prendre le cul... Dit-il en continuant à me doigter de plus en plus fort pour m’ouvrir.
    
    Je m’aperçus, qu’en même temps, qu’il se branlait et que sa queue était encore bien raide.
    
    — Je crois que tu es prête maintenant... Laisse-moi faire... Tu vas apprécier... Tu vas aimer... N’aie pas peur !
    
    Malgré cet espace réduit de la voiture, il se plaça derrière moi, me fit me cambrer en appliquant mon visage sur la banquette de la voiture et en me demandant d’écarter les fesses ...
    ... avec mes mains.
    
    — Humm, tu es très excitant comme ça. Si tu voyais ton trou comme il est bien ouvert ?
    
    C’est alors que je sentis quelque chose de dur se poser sur ma rondelle et pousser. Je compris qu’il était en train de m’enfiler sa bite dans le cul. J’avais un peu peur (à cette période, on commençait tout juste de parler de SIDA) et j’avais un peu mal (un mal, qui est presque le même, que celui que tu ressens quand tu essaies de vider les intestins après 2 jours de constipation), mais dès que son gland avait passé le cap, tout rentrait dans l’ordre des choses, si je puis dire. J’étais rempli de sa queue et en s’agrippant à mes hanches, il commençait, tout en douceur, ses allers-retours en moi.
    
    Doucement, il me prenait, et doucement, le plaisir montait en moi. Je grognais, je râlais, je gémissais et lui m’encourageait.
    
    — Vas-y... Laisse-toi aller... Tu sens comme c’est bon de se faire prendre le cul ?
    
    — OUIIII, c’est bon... Vas-y continue... Vas-y... Un peu plus fort...
    
    — Doucement ! Tu ne veux pas que je t’éclate le cul dès le premier soir ?
    
    Et il continuait ses allers-retours, tout en soufflant de plus en plus fort.
    
    — Ya zebbiiii... Que c’est bon... Branle-toi en même temps...
    
    Sans avoir attendu qu’il me le demande, je m’étais déjà emparé de ma bite et je commençais déjà à la branler... Mais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai senti une décharge indéfinissable qui m’électrisait... Je me mis à jouir par de longs jets de sperme qui ...
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