1. Le souvenir d'un été (1)


    Datte: 04/04/2023, Catégories: Gay Auteur: XYaimeXX, Source: Xstory

    ... nous. Il sortit de la voiture et se plaça dans les lumières des phares. Il sortit son engin (car c’en était un), déjà bien gonflé et se mit à pisser violemment. J’étais excité comme un fou et je ne pouvais détacher mon regard de cette énorme bite. Lui me regardait en train de l’observer, de le détailler et souriait.
    
    Il revint dans la voiture, sa queue hors de son pantalon.
    
    — Alors, elle te plaît ?
    
    Ne trouvant quoi dire :
    
    — J’en ai pas vu... Ou... J’en ai jamais vu sauf... Celle que j’ai... Entre les jambes... Et je... Oui... Elle est pas mal !
    
    — Tiens, caresse-la ! dit-il en me prenant la main et en la posant sur sa bite presque dure.
    
    Immédiatement, je m’en emparai et commençai à la branler doucement.
    
    — Humm, je vois que tu commences bien. Tu te branles souvent toi ?
    
    — Oui... Qui ne l’a pas fait dans sa jeunesse ?
    
    — Montre-moi comment tu fais. Vas-y, baisse ton pantalon et branle-toi devant moi.
    
    Hypnotisé, je me débarrasse en 2 temps, 3 mouvements de mon jeans qui vole sur le banc arrière du véhicule, je me retrouvai assis, les cuisses ouvertes, mon zob dans la main droite qui le caresse doucement.
    
    — Humm ! T’es un bon petit cochon toi ! Me dit Selim. Vas-y, branle-toi bien et regarde comment je me branle moi aussi.
    
    Effectivement, il se branlait la queue en me matant. Elle était énorme et impressionnante.
    
    Au bout de quelques minutes, il m’ordonna :
    
    — Viens, on passe à l’arrière.
    
    Et une minute plus tard, nous étions totalement ...
    ... nus tous les deux à l’arrière de sa voiture.
    
    Nous nous branlions chacun de notre côté en regardant l’autre. Puis il me prit par le cou et me dit :
    
    — Viens un peu vers là, et montre-moi comment tu fais lorsque tu manges une glace.
    
    Pour la première fois, ma langue se posa sur une queue d’un homme et le goût et cette odeur, un peu sauvage n’était pas pour me déplaire.
    
    — Prends-la dans la bouche et suce-la un peu.
    
    Je ne sais pas qui me guidait : sa main ? Mon cœur ? Mes envies ? L’alcool ? Le DIABLE ?Toujours est-il que je m’exécutais comme affamé et l’entendit qu’il commençait à souffler de plus en plus... De bonheur ?
    
    — Humm tu sais y faire tout compte fait ! Vas-y, suce-moi bien à fond petite salope...
    
    Je ne relève pas ce mot qui, en temps ordinaire, j’aurai pris pour une insulte, mais... Plus il parlait mal et plus j’étais excité...
    
    — Je vois que ça te plaît qu’on te parle ainsi petite pute... Vas-y bave bien... Je vois que tu aimes ma queue... Lèche-la... Ouiiii... Suce... Suce-moi à fond comme une bonne petite pute que tu es... Branle-toi en même temps !
    
    Je m’exécutais, tâchant de faire de mon mieux... Je me sentais planer... C’est comme si je m’observais et cela ne faisait qu’accentuer mon plaisir et mon excitation.
    
    — Viens un peu vers moi, je vais jouer avec ton petit cul aussi.
    
    Je me mets à 4 pattes sur la banquette sans cesser pour autant ma caresse buccale et je sentis un doigt humide qui me caressait la rondelle. C’était comme de ...
«1...3456»