Toc,toc... - Histoires de Sexe

Toc,toc...

... formidable. Il est plus gros que dans sa jeunesse, elle est passée du 38 au 42, mais il me fait toujours autant bander. Le mouvement de ses hanches a fait encore remonter sa micro-jupe, et laisse apparaître la pliure de sa peau entre ses cuisses et ses fesses, coupé par les jarretelles. On dirait un décolleté à l’envers, avec les bretelles d’un soutif. J’adore. Elle tourne un peu les épaules pour me regarder et se met une grande claque sur la fesse. Elle minaude, ingénue :

— Et comme ça, ça fait salope ?
— Ouais, une belle salope.
— Je le prends comme un compliment. Tu trouves que j’ai des grosses fesses ?
— Ton cul est magnifique.
— Je suis contente qu’il te plaise. Je vais accrocher l’écriteau« do not disturb » à la poignée de la porte, je ne veux pas qu’on nous dérange. Tu aimes ma démarche ?
— Je savais pas que tu pouvais autant onduler des hanches. C’est super excitant.
— Aaah, ben oui, j’ai repris les cours de danse. Attends, je vérifie quand même qu’il n’y a personne dans le couloir, avant d’ouvrir.
— Si un vieux passe devant, il va avoir une attaque cardiaque.
— Flatteur va !

Elle arrête la rotation de son cul à plus d’un mètre de la poignée. Elle croise les pieds et, jambes tendues, se penche à l’équerre. Elle est obligée de jeter ses bras en avant pour s’appuyer sur la porte et ne pas tomber. Elle lâche un petit soupir suraigu puis se baisse encore, en faisant semblant de regarder à travers le trou de la serrure. Le mouvement a fait définitivement ...

... remonter sa jupe qui ressemble maintenant à un serre-tête, autour de ses hanches. Elle révèle une mignonne petite culotte super-échancrée avec des petits volants en dentelle qui orne ses fesses, pratiquement à l’air.

La position improbable qu’elle a prise lui fait un cul superbe, rond comme le ballon d’Alsace. Putain, je crève d’envie de le grimper. Elle penche la tête encore plus bas pour m’apercevoir, par-dessous son bras. Elle a réussi sa deuxième figure et je suis complètement fasciné. De là où je la vois, elle a le cul au-dessus, la tête en dessous, à l’envers, avec des mèches de cheveux qui pendent vers le sol. Ses nichons, quasiment sortis du soutif, se balancent devant son menton. Incroyable ! Entre ses fesses, sa petite culotte cache, tant bien que mal, son petit trou. Plus bas, les lèvres de sa vulve débordent de chaque côté du tissu. Elle marque une nouvelle pause, et me lance :

— Je vois des petits trous, mais y a rien dedans. Et toi ?
— Pareil !

Lydia m’a encore scotché. Je serais curieux d’aller à son cours de danse, pour savoir si elle a répété tout ça avec sa prof. Elle est sensuelle, érotique avec une pointe de vulgarité et d’humour, j’ai presque envie d’applaudir. Je bande fort et j’attends la suite avec impatience. Elle se redresse d’un coup de reins. Elle tourne sur elle-même avec grâce pour décroiser ses pieds et se retrouve face à moi. Elle arbore un léger sourire, le regard vers le sol. On dirait une ballerine qui virevolte. Elle croise les bras ...