1. Toc,toc...


    Datte: 04/04/2023, Catégories: fh, couple, hotel, reconcil, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral coprolalie, confession, Humour consoler, Auteur: Freddy21, Source: Revebebe

    ... ça m’irrite aussi de me savoir si facile à émouvoir. Je ne vais pas lui céder un pouce. Elle me répond, toujours provocante :
    
    Il faut que je réfléchisse. Je vois, sur l’écran de mon itruc, les trois petits points qui indiquent qu’elle continue d’écrire :
    
    La salope. Elle me chauffe avec une pointe d’humour qui me touche. Je bande fort et j’ai du mal à résister. Il faut que je trouve un truc pour la contenir, sans trop la décourager non plus :
    
    En fait, avant, c’était notre appartement. Mais ces derniers temps, lorsque l’on se voyait pour parler, je n’y venais plus. Je lui donnais rendez-vous dans des cafés, histoire de marquer une distance. Là, je l’ai un peu bloquée. Elle doit réfléchir, moi aussi. J’ai la bite dure comme du bois et cela me bloque le cerveau.
    
    Je suis plutôt actif sexuellement. Avant, nous avions des rapports sexuels réguliers, souvent trois à quatre fois par semaine. Avec le temps, ils se sont transformés en plaisirs solitaires. Mais j’en ai eu marre de me branler et cela faisait partie de nos sujets de dispute. À ce moment-là, elle me fait une proposition que je ne peux pas refuser.
    
    Ce matin au boulot, je suis ailleurs. Je repense à notre échange de SMS la veille, et j’ai des érections intempestives. J’hésite à sortir de mon bureau pour aller à la machine à café. Je crains que mes collègues remarquent la bosse qui soulève ma braguette. Vers midi, je reçois un nouveau texto de Lydia :
    
    Elle est toujours aussi chaude, ça promet ! Je jette ...
    ... un œil sur le site de l’hôtel, c’est un cinq étoiles avec roomservice 24/24. Les chambres sont chaleureuses. À 300 balles la nuit, elle a fait les choses en grand. Pour ne pas voir le temps passer, je me plonge dans le boulot. Et j’en ai, quand je sors du taf, il y est déjà 21 h. Pendant le trajet à moto sous la pluie, je ne peux m’empêcher de fantasmer sur la soirée à venir et je frôle deux fois la faute de pilotage. Arrivé à l’hôtel, je suis vanné et inquiet. Avec toutes les érections que j’ai eues dans la journée, j’ai peur de ne pas assurer.
    
    C’est comme ça que je me retrouve en peignoir dans ce fauteuil avec, s’offrant à moi, ma femme Lydia habillée en pute.
    
    Elle se penche en secouant les épaules. Sa poitrine se met à valdinguer dans tous les sens, prouvant ainsi que, même serré, le peu de tissu qu’elle porte est incapable de retenir ses gros nichons, du 95C. Avec la bouche en cul de poule, elle imite une trompette en tournant la tête de gauche à droite :
    
    — Tuut trutut tuutut. Et attends ! T’as pas vu ma tirelire !
    
    J’éclate de rire. La bouche ouverte, elle sourit de toutes ses dents, elle jubile. Je suis bien obligé de reconnaître que cela fait bien longtemps que l’on a pas ri ensemble ainsi. Elle a réussi son intro. Toute fière, elle se tourne de trois quarts dos pour continuer son show. Elle fait tourner sensuellement ses hanches et descend doucement l’imper, découvrant petits à petits ses fesses qui font le tourniquet. Cela lui fait un gros cul tout rond, ...
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