1. Toc,toc...


    Datte: 04/04/2023, Catégories: fh, couple, hotel, reconcil, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral coprolalie, confession, Humour consoler, Auteur: Freddy21, Source: Revebebe

    Toc, toc…
    
    22 heures 30, c’est elle, pile à l’heure. Je viens juste de finir ma douche. Je sors en peignoir de la salle de bain et jette un coup d’œil circulaire à la chambre. Elle est grande, il y a même un fauteuil et une table basse. J’ai fait monter par le roomservice, une bouteille de champagne avec deux coupes. J’avais allumé en arrivant les lampes de chevet et la lampe sur pied, pour tamiser l’ambiance. J’éteins le plafonnier et m’arrête devant la porte d’entrée, sans faire de bruit. Je vais la faire poireauter un peu. Elle refrappe.
    
    Toc, toc…
    
    — C’est moi, c’est Lydia, souffle-t-elle dans l’angle du chambranle.
    
    À peine a-t-elle fini de parler que j’ouvre la porte sans ménagement et sans un mot. Surprise, elle a un mouvement de recul et me regarde avec des yeux ronds. Elle est décontenancée et je suis content de mon petit effet. Elle a dépassé la quarantaine d’années, comme moi, et elle est belle. Elle a relevé ses cheveux, auburn, mi-longs, avec un petit chignon. Les quelques mèches ondulées qui pendent de chaque côté de son visage, un peu rond, mettent en valeur son petit nez retroussé. Par contre, elle est maquillée comme une voiture volée. Elle a chargé ses yeux marron en amande avec du rimmel, du fard à paupières, du mascara sur les cils, plus un coup de crayon noir, pour allonger ses sourcils. Elle a mis du rouge sur ses joues et sur ses lèvres charnues. Elle fait vulgaire, mais vachement sexy. Là, c’est moi qui suis surpris. Elle remarque l’effet ...
    ... qu’elle me fait, reprend confiance et se décide à avancer. Elle colle ses seins sur mon torse, tout en approchant ses lèvres de ma joue, et me souffle à l’oreille :
    
    — Salut !
    — Salut ! que je réponds et m’écarte pour la laisser entrer.
    
    En passant devant moi, elle effleure, négligemment du dos de sa main, mon sexe à travers le tissu du peignoir. Je prends une décharge électrique, direct dans le bas du ventre. Avec ses escarpins noirs vernis à talons hauts, elle est presque aussi grande que moi. Ses longues jambes un peu charnues sont gainées de soie noire. À mi-cuisse, démarre un imper beige, fermé presque jusqu’en haut. Une ceinture enserre sa taille plutôt fine. Elle souligne ses hanches plus larges et sa poitrine généreuse. Même si l’on devine quelques kilos de trop, Lydia a une ligne magnifique à mon goût.
    
    Tandis que je referme la porte, je sens déjà une érection monter dans ma queue et des contractions durcirent mes couilles. Elle dépose un petit bagage de voyage près de la salle de bain. Agrippée à son sac à main, elle continue jusqu’à la fenêtre et écarte nerveusement le voilage.
    
    Au septième étage, la chambre offre une vue magnifique sur la ville. La pluie fait briller les lumières qui se reflètent sur les pavés et les toits mouillés. À cette hauteur, il n’y a pas de vis-à-vis. Satisfaite, elle avise la table de chevet et va y déposer son sac. Alors que je l’observe sans bouger, mais avec une bosse qui commence à déformer mon peignoir, elle semble presque ...
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