Toc,toc... - Histoires de Sexe

Toc,toc...

... gland qui se dégonfle petit à petit.

— C’est ma bonne grosse bite d’amour, souffle-t-elle, en la regardant amoureusement.

Elle lui fait un dernier petit smack et remonte jusqu’à mes lèvres pour m’embrasser langoureusement. Sa bouche a le goût un peu douceâtre du sperme, mais cela ne me gêne pas. La mienne a le goût de sa mouille, et le mélange des deux me plaît. Elle me regarde avec une petite moue boudeuse :

— J’avais envie de ça. Et pourtant, je ne savais pas que j’aimais autant le goût de ton sperme.
— Lydia, c’était incroyable, j’avais la tête qui tournait, j’ai rarement joui aussi fort.
— Moi aussi, j’ai adoré. Et moi aussi j’ai joui, tu sais ? De te sentir partir comme ça, je crois que ça m’a mis en transe. C’était presque comme un orgasme, mais ça, ça va venir après, pour la suite.
— Ben là, je me sens vidé.
— Je suis sûre qu’il t’en reste et je me suis promis de te vider les couilles jusqu’à la dernière goutte.
— Si j’arrive à rebander…
— T’inquiète. Je te laisse souffler cinq minutes et je me charge de te la redresser.

Elle se met debout, remet ses nichons dans son soutif, laisse tomber au sol le serre-tête qui lui servait de jupe, enlève le chouchou qui tient ce qui lui reste de chignon, secoue la tête pour remettre ses cheveux en ordre et agite sa main devant son visage pour se faire du vent :

— Pfou, j’ai chaud ! Tu veux du champagne ?

J’acquiesce en la détaillant du regard. Son visage brille des traces de mon sperme et elle a des ...

... mèches collés par la sueur à la base du cou. Avec son rimmel coulé, sa culotte rentrée entre la raie des fesses, son porte-jarretelles et ses talons hauts, elle fait pute qui vient de se faire tringler. Je ne lui dis pas, ce serait humiliant. Pour moi, les mots crus doivent être prononcés pour exciter, pas pour blesser. N’empêche que, comme ça, elle m’excite à nouveau. Elle sent mon regard qui la suit se pencher pour ramasser la coupe et traverser la pièce.

Elle soigne sa démarche en reprenant du maintien. Elle trempe ses lèvres dans le champagne, me sourit et revient, une coupe dans chaque main, les bras légèrement écartés. Je profite du spectacle de son corps, impudique et superbe. Elle me colle son tibia gainé de soie contre les couilles, enjambe ma cuisse et pose son petit minou sur mon genou. Je me sens vraiment bien, la bite à l’air, une coupe de champagne à la main et ma femme qui frotte doucement sa foufoune trempée contre ma cuisse. Elle a les yeux grisés, et pas seulement par l’alcool. Je la flatte :

— Tu m’avais caché tous ces talents.
— J’ai quand même pas mal bossé le sujet. Le soir, comme je suis seule dans mon lit, je pense à toi. J’ai trouvé un site qui publie gratuitement des histoires érotiques. J’y ai appris plein de trucs. J’ai trouvé aussi des tutos vidéo de nanas qui expliquent leurs techniques. Il y a même des livres. C’est dingue, tout ce qu’il y a sur la pipe. C’est une vraie science.
— Ah ? Un moment, j’ai eu peur de te faire mal. Tu la rentres ...