Toc,toc... - Histoires de Sexe

Toc,toc...

... m’accompagne du mieux qu’elle peut, en poussant des gémissements de plus en plus aigus et de plus en plus forts.

Elle s’est remise à genoux entre mes jambes tandis que je pousse sur sa tête avec ma main. Elle libère son autre bras que je tenais toujours. Elle attrape ma main gauche et la guide vers sa tête pour m’obliger à la prendre deux mains. Elle repousse ma queue de sa bouche, lève les yeux, et me jette d’une voix rauque :

— Baise ma bouche. Vas-y, baise-la.
— Putain, ma salope, tu la veux, tu vas l’avoir.
— Hummm.

Elle remet d’un geste brusque ma queue dans sa bouche et place ses deux bras dans son dos. Elle ne bouge plus, complètement offerte à mon plaisir. Je commence à lui pilonner la bouche en secouant sa tête dans tous les sens. Je fais quand même attention de ne pas rentrer ma bite trop profond dans sa gorge pour ne pas lui déclencher une réaction de rejet, mais quand je ne vais pas assez loin à son goût, elle pousse sur sa tête pour la rentrer plus profond.

J’ai l’impression de me branler dans sa bouche.

Je recommence à crier, à haleter, en donnant des coups de bassin à toute vitesse, je vais exploser. Je lâche une main pour m’appuyer au fauteuil. De l’autre, je cramponne sa crinière. Je sens le sperme monter presque douloureusement à l’intérieur de ma tige. Lydia a ramené ses mains sur ma queue et mes couilles et s’accroche pour encaisser mes coups de reins.

J’éjacule un long jet de sperme dans sa gorge tandis qu’elle aspire mon gland, en ...

... poussant un long gémissement de délivrance. Je vois des étoiles, mes tempes vont exploser, je grogne littéralement. J’ai l’impression d’être un homme des cavernes. Je l’entraîne vers le fauteuil en la tirant par les cheveux. Elle s’accroche encore pour me suivre, collée à ma queue. Elle ponctue par un gémissement suraigu, chacun des jets de sperme que je continue d’éjaculer dans le fond de cavité buccale. Je m’abandonne au plaisir en me noyant dans le fauteuil.

Lorsque je rouvre les yeux, elle a les siens braqués sur moi, l’air heureux. Elle continue de me suçoter tout doucement et laisse couler le long de ma tige, le trop-plein de foutre qu’elle a gardé dans ses joues. Elle sort mon gland et garde la bouche entrouverte. Je peux voir ma semence sur sa langue. Elle racle du doigt une goutte de sperme qui perle sous son menton. Elle avale le tout en levant les yeux au ciel :

— Humm… délicieux ! dit-elle en souriant et en faisant claquer sa langue.

Elle s’applique à nettoyer consciencieusement tout le sperme qui a coulé sur ma bite et mes couilles, par des petits coups de langues et des petits bisous.

— Putain Fred, tu m’en as mis une sacrée dose, mais ça fait du bien.
— Oh putain Lydia, tu m’as rendu dingue.

Elle sourit et s’amuse à refaire des « pop » de ventouse avec mon gland. Cela me provoque des sursauts nerveux qui semblent la fasciner. Elle recommence à me sucer doucement en me pétrissant les couilles. Puis elle se caresse affectueusement la joue avec mon ...