Marteau Piqueur (1)
Datte: 30/03/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... venait de se passer.
« Marc… Je n’ai plus fait l’amour depuis si longtemps. D’abord, Fifine (sa femme), n’aime pas ça, en plus elle pleure à chaque fois que je la pénètre, et encore, qu’en partie, j’ai l’impression de baiser un bout de bois »
« D’accord Jeannot, mais il n’y a pas qu’elle dans le village, non ? »
« C’est vrai, mais ici, tout ce sait très vite, en plus, elle a sournoisement fait comprendre aux femmes que coucher avec moi était un véritable enfer, décrivant ses soi-disant souffrances à mots couverts, suffisamment explicites. »
« Pourtant, d’après les on-dit, tu as une solide réputation de Marteau Piqueur, non ? »
« C’est là le problème… Ca génère beaucoup plus la peur que le désir. »
« Quelles connes…. C’était super bon pourtant… !!! »
« Je peux te poser une question, Marc ? Mais tu n’es pas obligé de me répondre. »
« Vas-y… »
« Comment tu as pu supporter ma bite en entier, aussi fort et aussi profond ? »
J’ai hésité un instant, et je lui ai raconté mon séjour à Ibiza, pas en totalité bien sûr, lui expliquant que l’homme qui avait pris mon pucelage avait un sexe comparable au sien, un peu moins gros quand même, et qu’il avait ouvert mon orifice en totalité, perforant aussi le deuxième passage.
« Mais tu as dû hurler de douleur… !!! »
« Horrible… Du moins au début, mais quel plaisir après, surtout que ça a duré presque deux mois. »
« Je comprends mieux maintenant notre jouissance, et que même si c’était pas facile, ...
... j’arrivais à te pénétrer. »
Je ne sais pas si c’était notre dialogue ou son manque depuis une éternité, mais son monstre avait repris toute sa vigueur, ses mains ont écarté mes cuisses, et après quelques frottements sur ma vulve, il s’est à nouveau introduit en moi d’un trait, de toute sa longueur. Enfin, Jeannot avait pu baiser autant qu’il en avait envie.
C’étaient les vacances pour lui aussi, qu’il prenait en septembre, raison pour laquelle il bricolait tous les jours dans sa barraque et dans son champ. Je devais rester encore deux semaines au village avant de redescendre à Nice pour aller à la Fac.
Ma grand-mère savait que j’étais assez solitaire, n’aimant pas trop mes ex-« copains » de mon école primaire, suite à de méchantes moqueries sur ma famille pendant mon enfance, et que je préférais me promener tout seul ou aller souvent jouer aux cartes avec mes grands-tantes, dans l’après-midi.
Tous les matins, j’allais le voir pour le café et me donner à lui, rien ne me faisait plus plaisir que de sentir son énorme rostre me défoncer l’opercule. Il m’arrivait même d’écourter les visites à mes tantes pour aller me faire remettre un coup de bite.
Ce qui me faisait marrer le plus, c’est que le soir, quand j’aller chercher mon grand-père au bistrot, il buvait souvent un verre avec lui… S’il avait su que son pote m’avait défoncé la chatte juste avant, cela aurait été vraiment, grotesque, surtout que Papy sentait Jeannot plus épanoui et moins triste… Grâce au cul de son ...