Marteau Piqueur (1)
Datte: 30/03/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
Marteau Piqueur
Après les six semaines de prolongation de mon séjour à Ibiza, pour fêter mon bac et mes 18 ans, dont je vous raconterais peut-être le détail dans un autre récit (Suite de Voyage et Découvertes), je suis allé passé quelques jours chez mes grands-parents, que j’adorais, dans notre village de l’arrière-pays niçois.
Tout le monde se connaissait, avec des grands sourires, souvent de façade, mais chacun des habitants possédait un bout de jardin, plus ou moins grand, pour y faire pousser des légumes, des vergers, et aussi, pour bricoler, la plupart y avait une grange, une barraque ou une vieille maison inhabitée, tenant par miracle.
C’était quand même assez haut dans la montagne, donc les terrains étaient en « planche », comme on disait chez nous, à savoir en espalier, et assez discrets les uns des autres.
Je m’y baladais assez souvent, d’abord pour me promener, mais aussi pour chaparder quelques fruits, cerises, poires ou pommes. J’avais ce qu’il fallait chez moi, mais c’est tellement meilleur quand c’est « volé » … !!! On nous laissait faire de manière bienveillante, sous réserve que nous prenions attention aux arbres, sans casser les branches. Souvent, les hommes nous criaient dessus, mais c’était davantage pour la forme et montrer leur surveillance pour qu’on ne détruise rien.
Ma préférence était un poirier avec des fruits hyper juteux, sucrés et savoureux, sur le champ de Jeannot, situé pas mal à l’écart des autres avec une vieille bâtisse dans ...
... laquelle il travaillait souvent. Le fameux Jeannot, dit, le « Marteau Piqueur ».
Très jeune, j’avais été fasciné par sa virilité, ses poils sortant de partout et son énorme bosse entre les jambes dont je ne pouvais pas savoir encore, ce qu’elle représentait. On était devenu de quasi-copains tous les deux, où, quand je venais le voir, il me donnait de ces fameuses poires que j’aimais tant, mais aussi des framboises ou autres fruits, et il nous arrivait souvent de partager un café qu’il préparait sur son poêle, il était presque toujours tout seul, s’évadant d’un couple mal assorti avec sa femme.
Lors de ce séjour, il s’est montré un peu plus sympa avec moi, avec quelques câlins, petites caresses sur mon dos et mes fesses, petits bisous, sans jamais aller plus loin. Mais je sentais, à chaque fois qu’il se rapprochait de moi, que le pieu qu’il avait entre ses cuisses, devenait une véritable poutre de bois.
Même si je n’avais connu le « Loup » à Ibiza, je connaissais la vie, et j’avais très bien compris ce que cela signifiait, je prenais plaisir à prendre ce gros morceau en mains pour le branler et le faire jouir dans sa salopette, sans jamais aller plus loin.
Mais cette année-là, mes 18 ans étaient arrivés, mon cul avait été ravagé à Ibiza, et finalement, j’avais bien envie de goûter à « Marteau-Piqueur », je n’avais pas été perforé depuis plus d’une semaine et ça commençait à me manquer, surtout que depuis mon plus jeune âge, je savais que c’était du très lourd pour ...