1. Marteau Piqueur (1)


    Datte: 30/03/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... l’avoir vu pisser. !!!
    
    Du coup, presque tous les matins, j’allais prendre le café avec lui dans sa grange, le félicitant de plus en plus pour son extrême virilité, caressant ses poils, surtout qu’il laissait sa salopette bien ouverte, son énorme touffe dépassait de son slip « Kangourou » ainsi qu’une bonne moitié de son membre, gonflé à bloc.
    
    « Jeannot, je commence à comprendre pourquoi on t’appelle Marteau Piqueur ! »
    
    « Et encore, tu vois que le bout »
    
    « C’est si gros que ça ? »
    
    « Regarde ! »
    
    Il a baissé sa salopette et son slip laissant apparaitre, devant mes yeux, un truc monstrueux qui ne bandait même pas totalement, avec les couilles en rapport. J’avais l’impression d’avoir Medhi devant moi, et même davantage.
    
    « Tu veux toucher, touche… !!! »
    
    Je ne me suis pas fait prier pour le prendre des deux mains, lui faisant atteindre sa taille maximale, et commencé à lui téter le gland. Il sentait fort, l’homme, ce qui me manquait tant depuis mon retour. J’ai réussi à en ingurgiter quand même le quart, pendant ses doigts s’inséraient dans mon short, sans slip évidemment, et qui ont pu constater l’ouverture facile de ma vulve.
    
    « On dirait qu’il y a déjà pas mal eu de bites passées par là, non ? »
    
    « Oui… J’aime trop ça… !!! »
    
    Sans aucune façon, il m’a courbé sur son établi, ôté mon short qui entravait mes jambes et a frotté son énorme gland sur ma fente. Il a compris quand même que cela n’allait pas être si facile que ça, et a vite chopé un tube de ...
    ... je ne sais quelle crème qu’il utilisait en cas de blessures, pour me tartiner la chatte et son pieu monstrueux.
    
    Je me savais totalement propre, tous les matins je me faisais un lavement profond, dans l’attente que ce moment arrive et il est arrivé. Jeannot s’était enfin introduit dans moi, malgré la douleur horrible de son gland proéminent, le reste a suivi, en totalité, jusqu’à ce que je sente ses couilles me battre les fesses.
    
    Il m’a baisé relativement doucement au début, puis il s’est déchainé quand il a constaté que mon conduit l’encaissait sans problème, ses mains me crochetant les hanches pour aller le plus loin possible, son torse velu épousant mon dos.
    
    Même si cet accouplement était hors normes, j’avais l’impression d’être ouvert en deux, le plaisir était hyper intense et partagé. Il s’est déversé en quantités phénoménales de sperme dont je ressentais chacune des puissances de ses jets. Il est resté en moi, quasiment sans débander, et il a recommencé à me posséder, se vidant à nouveau de son merveilleux nectar.
    
    Son regard sur moi restait ambigu. A la fois celui de l’homme trop heureux de s’être vidé les couilles, mais aussi la gêne de m’avoir possédé, en totalité, avec autant de force et d’une manière quasi-bestiale. Jeannot était un homme rustre, mais profondément gentil que j’avais toujours apprécié depuis mon plus jeune âge.
    
    En me resservant un café, il s’est un peu lâché et nous avons pu parler, se doutant, que ni lui, ni moi, allions ébruiter ce qui ...