Dressage d'une belle-mère
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
Mûr,
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... accouchement, c’est la spécialité de la clinique. Je suis surpris de la symétrie des situations à cet instant, là bas une femme ouvre sa chatte pour livrer le passage à l’enfant qu’elle porte, ici une femme ouvre les cuisses pour se faire mettre la semence.
Au vu de son age ma belle mère ne risque rien, mais dans ma tête le rapprochement est cocasse et je pilonne son cul de toute la longueur de ma queue.
Elle gémit de plus en plus fort, une plainte continue sort de sa bouche ouverte, modulée par les coups de queue dont je la gratifie. Le spectacle dans la glace finit par me tourner la tête, je pompe de plus en plus fort et plus en plus violemment, ma queue sortant et plongeant entre les lèvres poilues de ce sexe tendu vers la verge qui le fourre et pour la troisième fois de la soirée mes spasmes font tressaillir le corps de ma belle mère et je me répands en elle sans retenue. Le sperme coule en grosses gouttes le long de ses cuisses et sur ses bas qui se mouillent peu à peu de ma semence. Elle a joui elle aussi, son corps s’est raidi puis s’est détendu d’un coup tandis que je reste figé en elle, la bite au fond du trou.
Je ne saurais dire le temps que nous sommes restés ainsi l’un dans l’autre sans rien dire. Je la sentais fourbue par la longue séance de baise qu’elle venait de s’octroyer. Petit à petit sa respiration s’est faite plus régulière, sans à coup je suis sorti d’elle et je l’ai couchée sur le coté. Elle dormait, fatigué de cul et de l’alcool qu’elle avait ...
... ingurgité pour s’offrir son beau fils. Je l’ai contemplé avant de sortir sans bruit de la chambre, Henriette avait bien son age à cet instant tant elle accusait la fatigue. Son maquillage n’était plus qu’un lointain souvenir et le foutre lui coulait le long des cuisses souillant ses bas. Elle ronflait la bouche ouverte, emportée dans un sommeil que je devinais d’une profondeur abyssale.
J’ai regagné ma chambre pour en faire de même.
*
Le lendemain matin, le bruit en provenance de la cuisine m’a réveillé. J’ai mis un certain temps à émerger des lymbes et me remémorer la veille au soir et toutes les péripéties qui avaient émaillé la soirée. Je me suis levé péniblement pour me diriger vers la cuisine.
Ma belle mère finissait son petit déjeuner, quand elle m’a vu arriver, elle a levé les yeux et j’ai pu voir à nouveau cette ironie froide et vaguement dédeigneuse dans son regard. J’ai eu comme une bouffée de colère que j’ai eu du mal à contrôler, toujours ce petit dédain à mon égard alors que la veille au soir elle s’était si totalement offerte. Je me suis penché pour l’embrasser sur la joue, elle ne m’a pas présenté ses lèvres. J’ai déjeuner sans un mot en face d’elle. Elle avait la même attitude que de coutume, rien ne laissait supposer qu’hier au soir dans sa chambre… Elle me faisait mariner à petit feu. Je reprenais peu à peu mes esprit et me mettais en garde, comme un boxeur qui attend son adversaire.
Quand j’eu fini ma tasse de café, elle prit enfin la parole ...