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Dressage d'une belle-mère
Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica
... mieux comme ça. » Elle me tend sa croupe en écartant ses cuisses de mouche : ses bas ont vrillé sur ses jambes et tirebouchonnent autour de ses jarretelles distendues par la position qu’elle vient de prendre. Le tableau n’est pas des plus bandant mais quand on a vingt cinq ans et une queue en état de marche, on banderait pour bien moins. Ses fesses sont menues mais avec une rondeur insoupçonnée et un galbe bien marqué, suffisamment évocatrices pour me tenir raide. Je remonte un peu la gaine, histoire de m’ouvrir le panorama de son fessier et je suis saisis les fesses pour les écarter. Le cul de belle maman m’apparaît dans toute sa splendeur, c’est un beau cul finalement pour une femme de son age. En fait tout son charme réside dans son cul. Je ne l’avais jamais vu ainsi, et pour cause ! mais je dois dire qu’il me plait bien ce fessier menu mais bien galbé. Sa rosette est bien apparente, juste au dessus de la fente en abricot qui me fait de l’œil. Je pointe mon gland à l’entrée de sa motte et je pousse pour la pénétrer sans difficulté. Je me suis empalé tout au fond de sa chatte, c’est son utérus qui arrête ma progression ; Elle a poussé un « Oh » de saisissement et s’est offerte davantage, cambrant ses reins. Doucement je me suis mis à aller et venir dans son vagin si plein encore de mon sperme de tout à l’heure, ses cuisses recevaient le trop plein que sa cavité vaginale n’avait pu recevoir. Je voyais le liquide clair couler sur sa chair avant qu’il ne soit arrêté par ...
... le haut de ses bas. Tout en pilonnant ses fesses je faisais ce constat de sa chatte bavant le foutre que je venais de lui mettre et je songeais à celui qui allait venir et l’inonderait. Son cul laiteux jaillissant de sa gaine noire stimulait mon envie de lui mettre ma queue au plus profond. Cette fois je la besognais plus vigoureusement, insensible à ces geignements que n’identifiaient pas toujours comme étant de plaisir. En cette position, ma bite la pénétrait au plus profond de sa chatte et de temps en temps je buttais sur son utérus et la faisait tressaillir d’un petit mal délicieux. Je m’enhardissais à la sentir ainsi à ma merci, vaguement content de la faire un peu souffrir, je barattais son cul d’une bite à nouveau au mieux de sa raideur, contente de trouver ce vagin où s’enfouir et glisser dans les sécrétions de nos organes. En face de nous il y avait la grande armoire à glace et je manœuvrais de façon que je nous vis tous les deux en train de baiser. Le spectacle était délicieux, belle maman le cul dressé en l’air recevait ma pine en son ventre et je pouvais voir l’expression de son visage avec cette petite crispassion qu’amenait chaque touché de son utérus. Elle pinçait ses lèvres, fermait les yeux, attentive à chaque coup de mon engin. Les volets étaient restés ouverts, à travers les rideaux je distinguais les lumières de la clinique, les chambres des patientes et aussi la salle de travail éclairée des lumières bleutées des néons. Sans doute est ce un ...