1. La moniale démoniaque (2)


    Datte: 23/03/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... est l’heure d’aller manger avec les autres, je t’amène ton dîner juste après, à tout de suite.
    
    — Bon appétit.
    
    — Merci.
    
    Elle quitte la pièce, je reste seule à penser à ce qui vient de se passer, je me rends compte que je ne pourrais plus me passer de ces moments de bonheur ultime, j’en viens à réfléchir à la suite à donner à mon engagement. Je somnole, mon corps est étrangement détendu, je suis bien, presque plus de douleur. Elle revient avec mon repas, elle me fait manger avec tendresse, elle semble très heureuse de s’occuper de moi. A la fin du repas, rassemble tout sur le plateau.
    
    — Tu vas bien, je peux rapporter le plateau ?
    
    — Oui, ne t’en fais pas, je suis bien.
    
    Elle ramène le plateau à la cuisine et revient quelques minutes plus tard. Elle s’assoit à sa place.
    
    — Tu es bien ?
    
    — Oui, très bien, tu peux me déboutonner ma chasuble, j’ai un peu chaud.
    
    Elle se lève et me déboutonne la chasuble, quand elle est à mon niveau, elle l’ouvre en grand, dévoilant mon corps, j’ai un petit frisson. Je réalise que j’aime bien qu’elle me voie nue, mais moi aussi j’aimerais la voir nue. Je l’attrape avec ma main gauche. Elle me regarde.
    
    — Tu veux autre chose ?
    
    — Oui, te voir, tu me vois nue et moi je ne te vois pas nue.
    
    — Pas de problème.
    
    Elle se recule un peu et déboutonne sa chasuble. Elle l’ouvre, à ma grande surprise, elle est nue dessous, elle la laisse tomber à terre et se tourne lentement. Je vois un magnifique corps, une belle poitrine haute ...
    ... et ferme, un ventre plat, des jambes longues, des fesses hautes et rondes et un bas-ventre velu, mais avec des poils coupés. Elle s’approche.
    
    — Tu veux toucher.
    
    Je tends ma main valide, elle tombe sur une peau assez douce, ce sont ses fesses, elle se tourne un peu, ma main tombe sur ses poils pubiens. Elle écarte un peu les jambes, c’est me demander d’aller voir par là. J’avance ma main pour tomber sur une chair molle, douce, recouverte d’un liquide gras. Mon pouce touche un petit bouton dur.
    
    — C’est mon clitoris, titille-le avec ton doigt.
    
    Je lui fais exactement ce qu’elle m’a fait, je vois qu’elle se tend un peu, elle commence à onduler du bas-ventre, je sens que son sexe est de plus en plus mouillé, un de mes doigts entre dans son vagin, mais je veux la faire jouir comme elle m’a fait jouir, mon doigt retourne sur son clitoris. Je lui titille de plus en plus vite, elle se raidit d’un seul coup, son visage se transfigure, elle est magnifique, semble au comble du bonheur. Elle est secouée de sursauts et semble en tirer un plaisir extrême. Je continue jusqu’à ce que je voie qu’elle s’est calmée et qu’elle revient à elle. Je glisse ma main entre ses cuisses et en saisis une que je tire.
    
    — Viens, j’ai envie d’embrasser ton sexe.
    
    Elle s’approche de moi, je l’attire vers ma bouche, mais je ne peux pas me pencher suffisamment pour embrasser son pubis. Elle enjambe mon lit en évitant mes plâtres et me présente son sexe sur ma bouche. Je vois un ilot rose au milieu ...