1. Un petit séjour au paradis


    Datte: 18/03/2023, Catégories: fh, ff, couleurs, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, policier, lesbos, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... jours.
    
    Enfin je tenais quelque chose. Mon seul regret c’était de ne pas avoir bougé plus tôt. Rester dans le bureau à feuilleter le compte ne servait à rien dans ma situation. Je savais ce qu’il me restait à faire.
    
    J’appelai Ibrahima :
    
    — Tu peux t’en aller Ibrahima, je te rappellerai plus tard.
    
    Je revins au pas au restaurant et tentai d’épier encore ce qui se passait à l’intérieur, mais sans plus de succès que la première fois. Il était déjà une heure. Je restai à faire l’aller-retour de l’autre côté de la rue en guettant la sortie de Mamadou. Il en sortit une demi-heure plus tard, flanqué de deux énergumènes, un petit qui lui arrivait au coude, et un crâne rasé qui dépassait à peine ses épaules. Ils remontèrent la rue. Je les suivis de loin. Ils s’arrêtèrent sous un palmier, se saluèrent. Mamadou et le crâne rasé prirent une petite voiture et démarrèrent plus loin, le plus petit continua jusqu’à la fin de la rue, prit à gauche puis s’arrêta devant le bolide.
    
    Il actionna la télécommande, ouvrit la porte conducteur, se mit sur son siège et voulut la refermer.
    
    Un pied l’en empêcha. C’était le mien. La porte lui échappa. Un genou lui défonça le menton. Claquement de dents. Un jet rouge fit une arabesque sur le pare-brise.
    
    Un jeune couple qui caquetait était de passage, je refermai légèrement la porte, m’accoudai dessus et fis mine de parler au conducteur. Le pauv’type était hors d’usage, je lui enlevai la clé demeurée crochetée à son doigt, puis je fis le ...
    ... tour de la bagnole et voulus m’installer à son côté.
    
    Une main par-derrière m’en empêcha, une autre me ferma la bouche. Puis je sentis une douleur aiguë à la tête, comme si mon crâne se fendait en deux, et je perdis connaissance.
    
    OooooOOOOOOooooo
    
    Au paradis.
    
    Je me retrouvai dans un espace énorme, un jardin avec des grandes pelouses, des boulingrins et des arbres et des fleurs à perte de vue. Il faisait beau. Tout ce que je portais c’était mon caleçon Tex de chez Cerrefour. Du 100% coton doux et souple qui caressait mon zizi. Autour de moi je vis des dizaines de houris. Des jeunes filles sans âge, je supposais qu’elles étaient toutes majeures. Pour tout accoutrement elles portaient des voiles de mousselines légères qui flottaient lorsqu’elles bougeaient et qui ne laissaient aucun mystère sur leurs formes gracieuses et apurées. Je jetai un coup d’œil à mon bas-ventre et je le trouvai éteint. Je remis mon regard sur les jeunes filles qui jouaient en se jetant des fruits de la passion et en riant aux éclats. Elles me parurent asexuées. Leur beauté était formelle, comme des statuettes grecques et n’avait aucun sex appeal. Je remis mon attention sur mon bas-ventre, puis ne trouvant rien à faire je m’assis sous un palmier. J’eus un peu faim et pensai à une pomme et je ne sais par quel mystère une des houris me ramena une pomme. Je pensai alors à un sandwich de chez Paul et une autre houri me ramena un sandwich poulet fromage au pain croustillant. J’évitai de penser à une ...
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