1. Soir d'orage (2)


    Datte: 17/03/2023, Catégories: Erotique, Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... fruits. Je me sens mollir malgré la peur. La seconde main me tétanise également alors qu’elle vient de remonter de quelques centimètres mon chandail. Je devrais rabattre la laine, faire en sorte que l’autre ne découvre pas ma peau.
    
    Mais comment résister et puis Henry m’attire contre lui, m’obligeant par ce simple mouvement à décoller mes pieds du sol. Et pour rétablir un équilibre instable, je désolidarise mes deux jambes. Ce qui ouvre le compas et cette fois, il n’est plus question de doute. L’ami en face sait, il a vu ce que je cachais jusque-là. Je me retrouve donc à demi allongée sur l’assise du canapé. La jupe retroussée trop haut sur mes cuisses. Ma poitrine, je le sens, vient d’apparaitre dans sa grande majorité aux regards du voyeur assis. C’est lui désormais qui me parle ?
    
    — Vous êtes belle ! N’ayez pas peur ! Je ne touche qu’avec les yeux, sauf si c’est vous qui le demandez… Laissez-vous aller. C’est beau une femme qui fait l’amour avec un homme. J’adore l’idée.
    
    — …
    
    Je ne suis plus en mesure de répliquer. Ma bouche est squattée par celle plus masculine de cet homme chez qui je suis venue de mon plein gré. C’est étrangement envoutant de me sentir touchée, effleurée, embrassée devant un type qui chouffe la scène. Les pattes de mon amant « orageux » finissent le travail sans que je hurle au loup. Cette fois le pull est passé par-dessus ma tête et mon désir s’est intensifié. La jupe ne tarde guère, elle aussi, par finir sa course sur le sol du salon. Je ...
    ... suis enivrée par la situation qui me perturbe autant qu’elle m’excite. Je mets ma main sur ma toison, protection illusoire vite retranchée par un autre mouvement de Henry.
    
    C’est bien en rejoignant nos doigts sur ma chatte qu’il offre une vue imprenable à son copain. Dans un flou des plus artistiques, je vois entre mes cils mi-clos que le type se débarrasse de ses vêtements. Il est nu avant même que mon amant n’ait seulement ôté son haut de jogging. Je suis surprise par la taille de son engin qu’il masturbe lentement au rythme des passages que font sur mon ventre, les doigts de celui qui me tripote. Ma respiration s’est accélérée. Les soupirs qui montent de ma gorge se font écho de ceux des deux mâles. Mes cuisses sont désormais largement ouvertes. Et un index coquin se livre à des circonvolutions sur le petit pic que le reste de la main a fait jaillir de son chapeau.
    
    Ce qui suit est moins précis. Mais je suis totalement emportée par cet incroyable jeu auquel se livre celui que je suis venue rejoindre. Je me retrouve à quatre pattes à sucer ce mec, alors que dans son fauteuil, l’autre s’astique toujours le manche. Et c’est dans un brouillard que j’entends celui à qui je fais une pipe, qui invite tout bonnement son ami à se joindre au festin.
    
    — Viens ! Viens, Étienne et sers-toi. Vous êtes d’accord n’est-ce pas ?
    
    — … hummm !
    
    Dans le doute, il ne s’abstient pas. La bouche pleine, comment exprimer un refus que je ne suis pas certaine d’avoir. Je frémis de sentir ...
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