1. Caroline, mon pilote préféré


    Datte: 16/03/2023, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail hotel, voyage, avion, amour, amourdura, Auteur: Pierre Charmand, Source: Revebebe

    J’étais commandant de bord sur long-courriers. Comme la plupart de mes collègues, j’avais eu des maîtresses parmi les hôtesses de l’air ou des rencontres fortuites dans les escales. Aujourd’hui je partais en « rotation » pour douze jours avec escales à Tokyo, Nouméa, Denpasar sur l’île de Bali et retour. Sur la première étape, il y avait deux copilotes dont un qui ferait les douze jours avec moi. Lorsqu’ils arrivèrent, il y avait une jeune femme et c’était elle qui allait me supporter durant toute la rotation. C’était une femme assez grande, un bon mètre soixante-dix, mince et paraissant blonde naturelle. Sa poignée de main était franche, son regard bleu aussi, sans être d’une beauté sublime elle avait un certain charme.
    
    Lorsque nous étions tous les deux en fonction, j’ai découvert une femme passionnée par de nombreux sujets et lorsqu’elle en parlait son visage s’éclairait et elle en devenait jolie. Je me suis aperçu qu’on avait de nombreux sujets de discussion en commun. Le soir à Tokyo après les treize heures de vol et le décalage horaire, personne n’a traîné pour regagner sa chambre. Le vol suivant étant plus court, nous avons abandonné son collègue pour continuer sur Nouméa. En croisière, le temps passait vite, on suivait bien sûr le vol, mais on parlait de tout, nos opinions convergeaient.
    
    À Nouméa, on s’est retrouvés seuls pour le dîner, on est rentrés en se baladant jusqu’à notre hôtel. Elle me proposa de continuer à discuter en buvant un coup dans sa ...
    ... chambre, elle était dans un fauteuil, moi assis sur le bord de son lit. Beaucoup plus tard, lorsque je le suis levé pour partir me coucher, je me suis penché pour lui faire la bise, elle a mis ses bras autour de mon cou et m’a embrassé. On s’est retrouvé, elle assise dans son fauteuil jambes écartées et moi à genoux entre ses cuisses à s’embrasser. Son T-shirt est passé par-dessus sa tête, le soutif a suivi. Ses seins, de taille moyenne, étaient fermes et les pointes en érection, je les ai caressés, embrassés, léchés. On s’est à nouveau embrassés, ses jambes m’ont ceinturé. À travers nos vêtements, nos sexes se frottaient, j’avais une érection très dure, elle me dit :
    
    — Désolé, pour ce soir, je ne peux pas plus. Ne t’inquiète pas c’est la fin, on se rattrapera à Bali, va dormir maintenant.
    
    Sitôt dans ma chambre, je me suis branlé, je n’en pouvais plus.
    
    Au petit-déjeuner, devant le personnel commercial, on s’est fait une bise. On restait trois jours sur l’île de Bali. L’hôtel était magnifique, les pieds dans l’eau. Caroline avait un maillot deux-pièces minimaliste, les stewards de son âge la reluquaient, elle se marrait en douce. C’était dans tous leurs fantasmes, coucher avec une pilote, la vengeance sur nous qui leur piquions les hôtesses. Le soir, il a fallu trouver un stratagème pour aller au restaurant sans les autres. Ce fut fait en proposant un endroit cher et sélect. Au retour, devant sa chambre, j’ai marqué un temps d’arrêt, elle m’a souri et m’a dit de venir. À ...
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