1. Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (3)


    Datte: 15/03/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... fils, comme échappatoire. Et bien tant pis, je savais que le vieux allait en profiter, et moi j’aurais eu l’air bien con de n’être pas de la fête. Après tout, une femme qui fait la salope et qui veut se faire prendre, on accède à ses désirs !
    
    Le vieux la prit par la main, et la fit s’installer sur le rebord en béton du lavoir, et il lui fit écarter les jambes, "pour bien frotter dans les coins", dit-il, avec une lueur amusée dans les yeux. Il me donna un tuyau de caoutchouc, pendant que lui, prenait une éponge et un pain de savon rugueux.
    
    — Gamin, on va laver ta mère de tout ce pinard, moi je frotte et je savonne et toi, tu rinces... fais bien dans tous les recoins ! "
    
    Le tuyau suintant d’un petit jet d’eau à la main, je regardais le spectacle incroyable. Ma mère, les jambes ouvertes, cuisses bien écartées, les genoux un peu repliés vers elle, était totalement "ouverte" ! Elle exhibait l’intégralité de son sexe ; ses grandes lèvres, son clitoris grossi comme un pois chiche, sa fente entrouverte. Elle avait posé ses mains sur le béton, et soumise, attendait le savonnage du vieux. Elle ne cachait rien, assumait tout. Une envie torride me prit dans le ventre. Je savais que je m’apprêtais faire des choses très très vilaines !
    
    Je commençai par lever le tuyau et lui aspergeai les seins. Comme le niveau était faible, je pinçai l’extrémité pour avoir plus de pression. Ma mère reçut le jet dans la figure et elle s’étouffa un peu ; alors je me baissai, et ...
    ... consciencieusement, je nettoyai le sein gauche puis le droit. J’avais l’impression d’en voir les tétons encore remonter sous le jet d’eau froide. Et puis vicieusement, je dirigeai le tuyau sur le ventre et puis entre ses cuisses. Pour finalement lui envoyer toute la pression sur son pubis et entre ses cuisses, sur la moule toute grande ouverte et certainement bouillante de luxure, je m’amusais à masser le clitoris avec le jet puissant et vigoureux. Ma mère commença à gémir sous cette pression aquatique sur ses parties les plus intimes. Je me régalai de lui mettre le jet dans sa petite chatte de salope, toute grande ouverte !
    
    Ma mère semblait adorer le traitement, sa figure était déformée par le plaisir. Il faut dire que de son côté, le vieux schnock s’occupait aussi très bien de ma mère : il avait pris un gant de toilette, en plus de l’éponge, et après l’avoir copieusement recouverte de savon noir, il les passait avec sensualité sur la peau de ma mère.
    
    M’étant arrêté de lui titiller le berlingot avec le jet d’eau, je regardais fasciné, les gros doigts du vieux, qui ayant quitté le gant de de toilette, après avoir recouvert tout le corps de ma mère de son savon moussant, astiquait consciencieusement les seins de ma mère. Pas de doute, l’homme était un esthète et un bon ouvrier ! Après avoir astiqué, nettoyé, caressé avec application, chaque mamelle maternelle, il ne pouvait plus rester la moindre souillure sur les deux globes blancs, dont les pointes tiraient plus que jamais vers le ...