1. Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (3)


    Datte: 15/03/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Ma mère complètement éclaboussée par la faute de mon père ! Et pas de sperme ! Elle semblait être couverte de sang, telle la reine Margot dans le film éponyme... je sais, je suis trop intello !! Mais ce n’était que du vin, du pinard tant recherché par mon débauché de père !
    
    Pourtant elle semblait choquée... il faut dire que le tonneau s’était écrasé à peine à deux mètres d’elle, d’une hauteur de quatre mètres. Et si "l’auguste" père Grégoire Buisson n’avait pas écarté ma mère, de ses mains calleuses, profitant au passage d’un pelotage en règle, je serais peut être bien orphelin maintenant... sniff ! Une si belle femme, qui n’avait encore révélé qu’à peine cinq pour cent de ses capacités de salope !
    
    Le père Buisson, lui, n’avait pas perdu les pédales... oh que non ! Il avisa mon père, et se dit qu’il fallait mieux que le mari reste en dehors du coup :
    
    — Monsieur, croyez bien que je suis désolé de ce regrettable incident ! La petite dame aurait pu y perdre la vie ! Cela aurait été bien dommage, fan de chichourle ! Je vais l’emmener pour la remettre d’aplomb, et lui nettoyer cette pauvre robe qui en aura vu de toutes les couleurs ! C’est le cas de le dire ! Restez donc sur la banquette dans le petit salon, et goûtez moi ce petit vin millésimé ! Je vous en offre deux bouteilles en plus ! Vous m’en direz des nouvelles ! Gamin, viens avec moi, on va s’occuper de ta mère !
    
    Cela, dit sur un ton plutôt égrillard ...
    
    Le vieux schnock était loin d’être bête. Il ...
    ... éloignait "l’empêcheur de tripoter sa femme en rond", et se faisait un allié objectif du fils vicieux, dont il avait rencontré les doigts, sur la chatte de sa mère ! Ah le vieux salaud, le petit malin ! Décidément, le dicton disait vrai : ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces !"
    
    Même si, en la circonstance, c’était "l’honnête mère de famille" qui allait grimacer... de jouissance !
    
    Ma mère, telle un automate, se laissait guider devant le vieux cochon, qui lui mettait une main au cul pour l’emmener vers la salle au lavoir, qu’elle connaissait déjà ! Mais là, le spectacle allait être beaucoup plus pornographique que la dernière fois. Le vieux, l’ayant amenée à côté du lavoir à bouteilles, commença à dénouer les bretelles de lin blanc, qui lui collaient aux omoplates, pour lui retirer la robe souillée de vin. Ma mère n’exerçait aucune résistance. Pourtant j’étais devant elle, à trois mètres environ, et je la matais sans aucune retenue. Et là, tous mes rêves les plus fous trouvèrent leur réalisation !
    
    Le vieux baissa doucement la robe empoissée de vin, collant à la peau de ma mère.
    
    Il fit coulisser les pans de tissu avec ses deux mains, le long de son corps, profitant au passage de bien prendre son temps, pour saisir les courbes sensuelles de ma mère, avec ses doigts enfiévrés : il sépara lentement les deux seins de leur prison de tissu, puis amena la robe sur le ventre, suivit la courbe des hanches pleines, et le long des cuisses de ma mère. Se ...
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