1. Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (3)


    Datte: 15/03/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... baissant au niveau de ses mollets, il lui fit lever les deux pieds, pour pouvoir extirper la robe, telle un paquet de linge très sale, qu’il porta dans une alvéole du lavoir à bouteilles, pour la laisser décanter dans une bassine d’eau bien froide.
    
    Et ma mère me fit face, elle était sublime : complètement nue, les seins aux pointes turgescentes, la peau rougie partout, et son porte-jarretelles révélés par le vieux !
    
    Elle n’avait pas de culotte, cela je le savais déjà, mais là, la voir debout devant moi, avec son porte-jarretelles blanc, enfin avec des taches de vin par endroits, et ses bas qui surlignaient la toison brune engluée de son sexe... un pur délice pour les yeux.
    
    Je me mis à bander comme un taureau, alors que mon regard était hypnotisé par son pubis poilu, camouflant à peine ses grandes lèvres proéminentes.
    
    Certes, je l’avais déjà vue maintes fois nue dans la salle de bain, mais c’était dans un contexte domestique, dans la sécurité de la maison. Ici dans ce lieu incongru, mise nue par le vieux dégoûtant, un peu ivre et manipulée par le sagouin, et avec cette dangereuse nudité pornographique révélée par le fameux porte-jarretelles, elle m’apparaissait clairement comme une autre femme, fatale, au potentiel sexuel et érotique dangereusement attirant. Je savais que c’était ma mère, mais là, en cette circonstance, s’étant laissée mettre nue devant son fils, avec ses accessoires érotiques, je me disais qu’elle avait franchi une limite bien périlleuse.
    
    Nous ...
    ... nous regardions droit les yeux et elle savait ce qui allait lui arriver. Son regard impénétrable était difficilement lisible, mais je sentais qu’elle aspirait à quelque chose de physique, d’un peu bestial, outrageant pour ce qu’elle avait l’habitude de vivre : je sentais la femme bestiale, libre, qui avait envie de connaître des aventures sexuelles intenses et dépravées. Son exhibitionnisme en était la preuve patente.
    
    Le vieux revint, et lui, n’ayant pas toutes mes interrogations psychologiques, lui passa négligemment une main sur le pubis, ce qui fit frissonner ma mère et lui dit :
    
    — Alors ma bonne dame, c’est bon de se retrouver à poil, comme une pute devant son fils, en train de bander comme un sagouin et un vieux pervers comme moi ? Tu réponds rien, hein ? Encore un peu honte ? Tu verras, dans cinq minutes, tu auras oublié tes restes de scrupules, pendant que ton mari se jette sur mes bouteilles de pinard, et que ton fils te mate comme un obsédé ! Ils sont tous et toutes comme ça... tu n’es pas la première, loin de là.
    
    Bon, on va commencer par te nettoyer... et après... “ lui dit-il, avec un air égrillard.
    
    Ma mère se taisait, semblant attendre, et compatissant à son sort “funeste”.
    
    Elle aurait encore pu répondre, se défendre, dire que le vieux se faisait ses films, qu’elle était une femme honnête, qu’il l’avait piégée avec son vin, mais non rien, rien !
    
    Elle ne prenait même pas le prétexte de ma présence, et de sa nudité pornographique devant son propre ...