1. Deux salauds, une femme, un cocu 2


    Datte: 04/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Accent, Source: Hds

    ... elle s’est soumise à leurs fantaisies, s’est laissée tripoter, embrasser, caresser les seins, la croupe, elle les a sucés longuement, complaisante mue par le seul désir de ne pas souffrir. Elle s’est laissée sodomiser avec un naturel surprenant. Leurs gourdins la pilonnent maintenant par-dessus et par-dessous. Ces deux gros porcs lui infligent la punition que je n’aurais ni le courage ni la cruauté de lui imposer. Naïve, elle a cru les avoir apitoyés. Elle paie son erreur., coincée entre les deux, pénétrée désormais en vagin au prix d’insupportables sensations de déchirement. Je lui souhaite de retrouver ses esprits, de mesurer l’horreur de la trahison de son Blaise dominateur sans pitié. . Ses gémissements fendraient l’âme des cœurs les plus endurcis Mais ces deux pourfendeurs n’ont aucune pitié, ils s’acharnent, mais atteignent l’orgasme avant elle en hoquetant.
    
    Enfin Blaise s’arrache à sa proie et s’écroule à côté d’elle. Son sperme sort blanchâtre du con rouge sang, coule en un long filet glaireux vers la jonction du vit d’hervé à son tour animé par les giclées de foutre dans le cul de ma femme, allongée comme un pantin ...
    ... désarticulé sur ce nouvel amant. Hervé se délivre de son poids, la repousse en avant, de sorte qu’elle s’allonge, tête-bêche, et vient poser son visage écarlate, recouvert de sueur, sur l’abdomen de l’autre, nez collé au membre en détumescence. L’alcool ingurgité et les excès sexuels ont raison de leur désir. Ils sont fatigués mais ne renoncent pas.
    
    - Ne t’inquiète pas Nervé, tu auras ton tour par ce trou, plus tard. La nuit sera longue. Elle n’est pas morte finalement, elle fait trop de manières pour des picotements. On va la dresser. Laissons la dormir. Et toi Thérèse, pourquoi ne nous as-tu pas dit que Paul ne reviendrait pas aujourd’hui. Tu vas payer ce mensonge par omission.
    
    Je n’entends pas l‘interpellée, elle est affalée sur le corps fatigué, et hume endormie les odeurs fortes du sexe recroquevillé. Ils ont baisé, ils baiseront encore, donc ils peuvent s’assoupir sans se laver. A moi de jouer. Ils sont affaiblis, trop confiants; l’heure du règlement de compte a sonné. Deux lâches qui abusent d’une femme seule méritent un châtiment exemplaire. J’ai assisté à une abomination, je suis remonté à bloc et je vais les surprendre. 
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