1. Deux salauds, une femme, un cocu 2


    Datte: 04/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Accent, Source: Hds

    ... sens.
    
    - Je n’en peux plus. Épargnez moi.
    
    - Alors dépêche-toi de jouir. Laisse-toi aller, ne te retiens plus, livre toi entièrement,le plaisir viendra de surcroît.
    
    L’autre aussi débite ses salades de jouisseur :
    
    - Lève tes fesses, laisse-toi retomber, remue, accélère. Vas-y.
    
    Blaise veut sa part:
    
    - Ça ne t’empêche pas de me polir la lance, fais-la reluire avec la bouche. … Lance le galop. Et ton irritation, s’atténue-t-elle?
    
    - Non, ne touche pas !
    
    - Lave-toi la bouche, bois un verre pour nettoyer ta gorge. Quoi le cognac te brûle? C’est dans la tête. Avale…
    
    - Qu’est-ce que tu fais? Laisse mon berlingot en paix, tu l’as promis.
    
    La voix de Thérèse laisse sentir une frayeur subite. Elle vient de comprendre que sa soumission passive n’est pas une protection contre les abus de son amant. Qu’elle ne compte pas sur le complice, il attend son tour.
    
    - Juste une lichette sur l’extérieur du bonbon. Si c’est douloureux j’arrête, promis !. Continue à monter et à descendre sur la tige. Hervé tient lui solidement les hanches et aide le mouvement. Tire son dos sur tes pectoraux et défonce-lui le fondement. Comme ça elle a la bonne position. Empoigne ses nichons et coince-la.
    
    La douleur a été hurlée. Instinctivement je me jette dans l’escalier. Thérèse crie, elle pleure, elle a mal. Je les vois.
    
    Ils sont empilés. Elle est sur l’enculeur, maintenue par les bras qui la ceinturent. Blaise la couvre et la baise en con à coups répétés, sans ménagement. Il a ...
    ... oublié ses promesses; Il rit du bon tour et se moque des cris abominables comme de l’an 40. Il ne lui a pas demandé sa permission. Il a plongé sur l’arc tendu du ventre femelle cloué sur Hervé et il a propulsé par surprise sa matraque dans la quetsche irritée mais béante. Elle est en sandwich et les percutions bilatérales la secouent sans égard pour ses protestations.
    
    Les mâles en rut précipitent la bousculade. Je vois les deux bites jumelles entrer et sortir puis rentrer dans les orifices et revenir et repartir, les assauts de l’un concurrencent les élans de l’autre, ils rattrapent le temps perdu, lancés comme des fous en quête d‘un orgasme qui devrait sublimer la douleur. La suppliante est ballottée et s’époumone en vain. Elle gigote des bras et des jambes, mais reste prisonnière entre ses deux bourreaux, rivée sur leurs harpons durcis. ancrés dans ses orifices. Elle brûle, elle réclame la fin de la torture. Pour ne pas ameuter les environs Blaise étouffe d’une main ferme les exclamations de la malheureuse. Mais les ruades s’amplifient, Hervé l’envoie vers le haut, Blaise l’écrase vers le bas.
    
    Jamais elle n’a refusé de se laisser prendre, jamais elle n’a invoqué sa fidélité au mariage ou son amour de moi. Son seul souci était de ne pas avoir mal.
    
    Si elle avait dit:
    
    - Laissez-moi tranquille, je ne vous aime pas, je suis amoureuse de mon mari, je ne veux pas m’amuser avec vous,
    
    je leur tomberais dessus, je les assommerais à coup de gourdin.
    
    En fait de gourdins, ...