1. Deux salauds, une femme, un cocu 2


    Datte: 04/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Accent, Source: Hds

    Je m’occupe à rassembler en cave les instruments de ma vengeance. Je la veux terrible. « IL FAUT SAVOIR IMAGINER! », je partage l’opinion de René. ‘imagine la nécessaire punition: elle sera dissuasive pour les deux salauds et pour celle qui se laisse faire. Blaise est un connaisseur et sait flatter; Thérèse ne doit pas être insensible aux compliments:
    
    - Tu as de jolies fesses bien rondes, et l’œillet de ton cul se cache en profondeur. Pour le nettoyer avant la visite nous exigeons une entrée avenante; je lui verse un peu de cognac. Après je lècherai le liquide avec plaisir dans cette coupe improvisée. Tu as un vrai cul à claques, on ne va pas se gêner.
    
    - Aïe, ça déborde, oh! Lalibala, ça me brûle la moule. Aïe! Tu es fou! Arrête de verser de l’alcool
    
    - C’est un excellent remède contre les irritations. Reçois mes soins avec reconnaissance au lieu de brailler. Tu ne vas pas pleurer pour deux gouttes égarées sur ta chatte. Henri, passe moi ton tube de lubrifiant, je veux planter une phalange dans son derrière. Ça va, ce n’est pas douloureux, ma chère? Dommage que ta cramouille te fasse souffrir, Henri avait une pommade qui chauffe et excite les plus frigides.Ce sera pour la prochaine fois. Reçois la deuxième phalange. Je vois que tu tends tes fesses pour faciliter l’invasion, bravo ma poule. Et voilà, trois phalanges ont disparu, je n’ai plus de majeur, il est englouti dans tes entrailles. C’est bon?
    
    Thérèse grogne, elle doit avoir la bouche pleine du vit ...
    ... impressionnant du complice. Blaise a déclaré que son ami n’avait rien à lui envier en longueur ou en épaisseur. Hervé possède donc un gros machin et le bourre dans la bouche jusqu‘aux couilles. Les borborygmes de ma femme sont révélateurs de l’envahissement par un long et gros calibre. Le mâle l’exhorte à plus de participation.
    
    - Sers-toi de tes mains, masturbe-moi, vas-y, secoue et serre; je sens monter la sauce!
    
    Blaise n’est pas en reste:
    
    - Tiens, je te pousse deux doigts dans le cul. Là, je remue, je fais des ronds, mon crayon entrera plus facilement. Quel beau cul. Je rêve de le visiter. Hervé, est-elle bonne ma chérie?
    
    - Mon cochon, c’est de la salope de chez salope. Quelle pompe à foutre! Si tu ne voulais pas toujours être le premier, j’aurais aimé l’enculer maintenant, je suis chaud, bouillant.
    
    - Viens, je vais lui donner la becquée, perce lui le muscle,sodomise la, le terrain est prêt, je lui ai bien défoncé la rose, elle t’attend.
    
    Je n’entends pas Thérèse. Elle subit passivement ou profite en silence. Tout à coup elle crie, Hervé a forcé le sphincter et s’est projeté dans ses intestins. Elle râle des ho, des han, elle sanglote. Blaise se marre :
    
    - Je t’avais prévenue, Hervé est baraqué de la queue comme tu l’as remarqué en le suçant. Ne t’endors pas, suce-moi les roubignoles. Allez.
    
    - Ah! La vache, un cul serré, brûlant. J’admets que tu sais choisir tes femelles. Celle-là c’est la meilleure. Elle soulève son bassin, s’offre, elle se tend pour ne rien ...
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