1. Le Tournoi des six nations (6)


    Datte: 07/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... aussi aime ma chatte autant que moi je puisse aduler sa bite, énorme, turgescente.
    
    Bouches soudées, nous jouissons de concert, je le sens se raidir encore, gonfler, tressaillir pour se répandre dans les tréfonds de mon sexe, inondant mes parois vaginales, inséminant probablement mon utérus. Je l’enlace, toujours figé en moi, nos langues se mêlent, se cherchent, s’escriment dans un baiser des plus savoureux. Je le remercie pour cette baise impromptue, mais oh combien jouissive.
    
    Il est toujours fiché en moi lorsque le portillon du jardin s’ouvre. Nos conjoints respectifs reviennent visiblement eux d’un jogging matinal, essoufflés, transpirant, suant à grosses gouttes, mais visiblement heureux, empreints de connivence.
    
    Ils nous découvrent ainsi dans une position qui ne laisse aucun doute sur ce qui vient de se passer et que, de toute façon, avions nulle envie de leur cacher.
    
    Mon mari me sourit et ne semble pour le moins absolument pas contrarié, au contraire, je dirais même.
    
    D’un ton goguenard, il nous chambre un peu, sans méchanceté aucune.
    
    — Eh bien je vois que l’on ne se prive pas, lorsque le loup n’est pas là ... les souris niquent.
    
    — Visiblement ma chérie, tu as déjà bien récupéré de ta folle nuit de débauche ...
    
    Il m’explique ensuite qu’il avait eu besoin de sa séance dominicale de décrassage, son jogging hebdomadaire et que Madison ayant ses affaires de sport dans le camion de Gordon avait souhaité l’accompagner. Ils viennent de se taper une ...
    ... petite dizaine de kilomètres.
    
    Sur cette entrefaite, il s’excuse et manifeste une envie furieuse de prendre une douche. Main dans la main, nos conjoints s’éloignent pour regagner l’intérieur de la maison.
    
    C’est après coup que cette image m’a trotté en tête, d’autant qu’il m’a semblé que la belle Anglaise lui a mis une main aux fesses avant de disparaître de mon champ de vision.
    
    En cet instant, il me serait mal venu de faire une crise de jalousie, moi qui quelques minutes auparavant, pour mon plus grand plaisir, viens de m’envoyer en l’air avec son conjoint, sans parler de la nuit de folie que je viens de passer en sa compagnie.
    
    Je replonge quelques minutes dans la piscine, suivie de près par le rugbyman qui après quelques mouvements me confie quand même que « Madi » semble bien en compagnie de mon homme.
    
    Lui aussi a donc remarqué cette complicité naissante entre ces deux-là. Je me glisse près de lui et d’une main, me saisis de son gourdin pas encore ramolli.
    
    — Nous aussi on s’entend bien, lui soufflais-je...
    
    — Yes. You’re wonderful.
    
    Gordon semble prêt à remettre le couvert, mais je le repousse gentiment en lui disant que vu l’heure, il allait falloir s’occuper du repas et que j’avais une faim... de loup pour reprendre l’expression de Thierry.
    
    Nous sortons de l’eau et nous séchons avec les serviettes rangées à cet effet dans une armoire à proximité de la baie coulissante.
    
    Mon anglais m’accompagne et exécute sans broncher les ordres que je lui donne. ...
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