1. Le Tournoi des six nations (6)


    Datte: 07/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... humide de ses sécrétions mêlées aux miennes plus intimes. Il se délecte, s’abreuve à ma source de la vie. Indécente, j’écarte à deux mains mes lèvres vaginales, dans une invite sans équivoque, facilite ainsi la progression de cette langue au creux de mon intimité.
    
    La caresse est un délice, mais je sens qu’elle pourrait vite devenir un supplice si elle s’éternise.
    
    — Prends-moi ! fuck me please.
    
    Il me regarde, lubrique, triomphant, se redresse, s’agenouille. Le gland violacé se présente, coulisse le long de ma fente, s’humecte de nos liqueurs. Je soupire, même ce simple effleurement m’exacerbe.
    
    Je le supplie presque.
    
    — Fuck me...
    
    — Mets-moi ta bite.
    
    Il ne se le fait finalement pas répéter et présente son chibre à l’entrée de ma vulve. Il pousse un peu, je grogne. Lentement, il progresse, m’arrachant un râle guttural, venu du plus profond de mes entrailles. L’énormité de chair prend possession des lieux. Ma cavité se distend, je ne cesse de geindre tellement le supplice me ravit. Mes chairs refluent, accueillent l’engin. Je me répète, oui je le sais, mais jamais oh jamais je n’avais été encore aussi distendue par un sexe si monstrueux. Le corps humain est fabuleux et capable de s’adapter à bien des situations pour le moins que l’on prenne quelques précautions. Je suis remplie et le bien-être m’irradie. Que j’aime me sentir prise ainsi, emplie, possédée. Mais Gordon entame déjà un mouvement de repli, sort de son fourreau dans un bruit effroyable de ...
    ... succion. L’animal sourit, heureux de l’effet produit. Son glaive me pourfend de nouveau, jusqu’à la garde. Oh mon Dieu que c’est bon. Je prends goût à ces possessions profondes.
    
    Je deviens esclave de ce sexe que je ne connais que depuis hier. Je désire cet homme, cette bite démesurée. Je veux qu’il me prenne, m’apprivoise, m’assouvisse à ce sexe hors norme. Cela vous paraîtra probablement très cliché, mais je sens en moi une révolution se produire. Je veux qu’il me baise, encore et encore. Je veux qu’il me prenne à sa guise, vide ses couilles là où bon lui semblera. Je veux être sienne, adoratrice de son sceptre royal. Je veux recueillir sa semence, son foutre divin.
    
    Gordon me besogne en de lents et longs mouvements. Son piston luisant de ma mouille, ressort pour aussitôt replonger en moi. Il m’en faut plus encore, je réclame.
    
    — Baise-moi plus fort. Plus fort s’il te plaîttttttttttt.
    
    Docile, il obéit, accélère le mouvement. Son pubis vient à l’encontre du mien, me heurte, me bouscule. Ses couilles claquent sur mon œillet qui attend son tour. Les coups de reins se font plus durs. Mes chairs maltraitées s’électrisent. Je gueule, hurle mon plaisir. Sa bouche se plaque à la mienne, improvisant un bâillon, dissimulant du mieux qu’il pouvait mon plaisir au voisinage.
    
    Il accélère le mouvement, me disloque sous ses coups de boutoir désormais incontrôlés. Notre plaisir est réciproque. Il n’est nul besoin de parler pour comprendre que lui aussi aime me posséder, ainsi que lui ...
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