1. Le Tournoi des six nations (6)


    Datte: 07/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... silence et bien que l’heure soit déjà bien avancée, le lotissement semble encore endormi, assommé peut-être par les prémices d’une journée qui s’annonce ensoleillée.
    
    Me doutant que le petit-déjeuner continental ne soit pas sa tasse de thé, si je puis dire, j’indique à Gordon les différents endroits de la cuisine où il pourra trouver ce qui lui convient pour se rassasier.
    
    Pendant ce temps, je décide de faire quelques brassées. L’eau me berce, me délasse et glisse le long de mon corps. Je fais la planche, expose au zénith mes atouts. Naturellement, mes tétons se dressent, fiers. J’entends quelques clapotis et bientôt, des vaguelettes me submergent. Une main ferme appuie sur mon thorax, me coule, manquant de peu de me faire boire la tasse. Je n’ai guère le temps de m’enfoncer, de paniquer, que déjà je suis tirée vers le haut, soulevée, projetée dans les airs avant de retomber au milieu d’une gerbe d’éclaboussures. Je proteste.
    
    — Gordon !
    
    Je l’entends s’esclaffer tel un gosse content de sa bêtise. Je ne peux m’exprimer davantage. Une main ferme m’attire et une bouche se plaque sur mes lèvres, une langue cherchant la mienne. Je réponds à ce baiser qui bien vite s’enflamme.
    
    Je sens un sexe durci flatter mon ventre, se balancer au gré des vaguelettes et suivre les remous provoqués par cet assaut soudain. Mon corps réagit. Mes seins durcissent et se tendent encore plus. Des picotements envahissent mon intimité qui se réveille. Je l’enlace, mes jambes entourent ses ...
    ... reins d’athlète. Il me porte ainsi, rejoint le bord et me dépose sur les margelles. Soumise, complice, je me laisse guider. Il sort de l’eau, dégoulinant, le sexe dressé, toujours aussi imposant. Tranchant avec son attitude plutôt rustre de la veille, délicatement il m’allonge sur la terrasse. Bien vite, ses mains baladeuses prennent possession de mon corps et me caressent adroitement. Je ne suis plus la femme brusquée, pétrie, malaxée de la veille. Je découvre que le colosse est capable de délicatesse. Il me couvre de baisers, me lèche, me suce, me tète d’une infinie douceur. Mon cou, mes oreilles, mes joues, ma bouche reçoivent mille bécots dans une étreinte des plus savoureuses.
    
    Il glisse, coule le long de mon corps pour, peu à peu, atteindre le mont de Vénus. Il ne m’en faut pas beaucoup plus pour émettre mes premiers gémissements. Son organe buccal déniche bien vite mes trésors cachés. Mon clitoris un temps dissimulé finit par saillir pour attendre, voire réclamer son dû. Gordon se pourlèche et honore l’éminence ainsi débusquée. Je réagis. Mon coquillage s’épanouit, s’humidifie.
    
    — Hummmmmmmm Gordon... c’est bonnnnnnn .......
    
    Ainsi encouragé, mon amant se démène, je ressens sa motivation. Quel contraste avec nos accouplements sauvages précédents !
    
    Ses mains ont pris possession de mes mamelons et les malmènent d’une douce torture qui m’électrise atrocement, se répercutant jusqu’au tréfonds de mon vagin qui se liquéfie.
    
    Peu à peu, il gagne l’entrée de ma caverne ...
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