La déchéance d'une Demoiselle (5)
Datte: 06/03/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Qazar, Source: Xstory
... point de sa peau luisait au passage de sa main, indiquant en temps réel ce qui lui restait à traiter et ce qui avait déjà été fait. Après un moment, il ne lui restait que les jambes, les bras et une majeure partie du dos qui n’avaient pas été recouverts de mon sperme, elle s’essuya les mains sur ses cuisses autant qu’elle le pouvait avant de caler les capotes vides sur son majeur et de se les enfoncer dans son sexe une par une. J’en profitai aussi pour lui jeter son plug, lui disant de le mettre, ce qu’elle fit sans difficulté, après les traitements que j’avais infligés à son cul.
Quand elle eut fini, elle resta dressée sur ses genoux, les bras le long du corps, les jambes écartées attendant mon approbation. Ses cheveux en bataille, tout son corps était ravagé de marques rouges et de morsures en particulier une bien visible sur son sein droit. Elle était poisseuse au possible, pluggée, avec les trois bases des capotes tombant de son sexe de quelques centimètres dans le vide. Cette Salope formait un tableau d’une absolue dépravation et seul le rouge qui lui montait aux joues, quand je lui fis la remarque, pouvait achever cette perfection.
Je lui dis de prendre des poses provocantes et, attrapant mon téléphone, je commençai à prendre des photos. D’abord réticente à s’exposer comme ça et laisser des preuves de sa perversité, elle finit par se prendre au jeu, m’offrant des positions toujours plus subjectives pour mon plus grand plaisir.
Quand je fus satisfait, je lui ...
... dis de rester comme ça le temps que je revienne et de bien réfléchir à ce qu’elle voulait vraiment, puis je me dirigeai vers sa petite salle de bain. Après une rapide douche qui eut le mérite de chasser la fatigue et de me faire réfléchir un peu, je revins, décidé dans sa chambre où l’indécente n’avait pas bougé d’un pouce.
— Alors ? lui dis-je en entrant.
— Ma volonté n’a pas changé, je veux vous revoir et je veux vous appeler maître.
Sans lui répondre, je me dirigeai vers son armoire où je sortis un grand manteau qui s’arrêtait mi-cuisses, mis son vibro dans la poche et le jetai à côté d’elle puis descendis sur mes jambes pour me mettre à son niveau.
— Tu vas annuler tout ce que tu as prévu ce week-end et venir chez moi maintenant, tu y resteras tout le week-end et on s’occupera de toi avec ma Chose. Si tu veux m’appeler maître, il faudra d’abord que je te dresse à devenir une belle petite Chienne docile.
Regardant ma montre, je rajoutai :
— Je te laisse 5 minutes pour envoyer tous les messages que tu veux, puis mettre ce manteau, tes chaussures et me suivre comme tu es.
La soudaineté de mon ordre la prit complètement au dépourvu. Elle n’avait vraisemblablement pas prévu de sortir de l’environnement réconfortant et contrôlé qu’était sa chambre aussi vite, aussi soudainement, et cela la fit paniquer. Elle bégayait des excuses, me demandait si je ne voulais pas dormir ici cette nuit, que c’était mieux d’aller chez moi demain quand on se serait reposé, ...