La déchéance d'une Demoiselle (5)
Datte: 06/03/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Qazar, Source: Xstory
... sa lèvre inférieure pour éviter de faire entendre ses gémissements qui devaient la démanger. De l’autre main, je jouais aussi de temps en temps avec les pinces à linge, l’obligeant même à me supplier d’arrêter.
Ma petite Salope était déjà passablement humiliée, mais je voulais la pousser encore un peu.
— Alors, ma belle Salope on aime se soulager devant des gens et se faire essuyer la chatte en plein couloir ?
Se retenant de gémir pour ne pas faire trop de bruit, elle me répondit d’une petite voix.
— Non Monsieur, je n’aime pas ça, ça me gêne, c’est sale et j’ai trop peur que quelqu’un vienne.
— Tu n’aimes pas ça ?
Laissant de côté le papier, je lui enfonçai brusquement deux doigts dans son intimité, la faisant lâcher un long râle de plaisir.
— Moi, j’ai bien l’impression que tu adores ça au contraire. D’ailleurs, tu as tellement l’air d’aimer ça que j’hésite à appeler tes colocs pour nous rejoindre. Ça te dirait ?
— Non ! Pitié ! Ne faites pas ça, Monsieur Pitié ! réagit-elle immédiatement.
Il y avait de la peur dans sa voix et dans son regard, elle ne savait pas si je bluffais ou pas, mais elle n’avait aucunement envie de prendre le risque, et elle avait bien raison...
— Tu n’aimerais pas que Frank et les autres fassent la queue dans le couloir pour te prendre à tour de rôle ? Je suis sûr qu’ils adoreraient te défoncer ton joli petit cul. En plus Salope comme tu es, à tous les coups, tu prendrais ton pied comme jamais.
— Non Monsieur s’il ...
... vous plaît, ne faites pas de bruit, dites-moi juste ce que vous voulez que je fasse.
Je souris, c’est qu’elle commençait à me connaître la petite.
— Il me semble t’avoir dit de poser la tête sur la lunette des toilettes, alors commence déjà par le faire.
— Mais Monsieur, beaucoup de monde s’y est assis à la fête, c’est sale.
— Pas autant que toi ma chère, alors exécution, lui répondis-je, toujours tout sourire.
A ses mots, elle se décomposa, se souvenant sans doute de mon pied plein de cyprine sur son visage et de ce qu’elle était en train de faire, elle passa de rouge pivoine au blanc ivoire. Ne répondant rien, elle détourna juste les yeux pour regarder la lunette des toilettes et son contenu odorant. Puis, humiliée au possible, elle finit par poser lentement sa joue dessus.
Ce fut seulement quand elle eut fini de poser sa tête que je me remis à jouer avec son vagin, mais cette fois-ci, je me concentrai sur son clitoris que je caressai doucement, coincé entre deux doigts. Puis impitoyable, je continuai à enfoncer le clou :
— Voilà, là tu es à ta place, la place d’une belle Salope, jambes bien écartées à te faire fourrer la chatte à la vue de tous, la tête posée sur la lunette des toilettes, humant l’odeur de ta propre pisse. Tu es de loin la chose la plus sale ici, une fois que tu auras bien compris ça, plus rien d’autre pourra te dégoûter hormis toi-même. Et tu adoreras ça. Je suis sûr que tu aimes déjà être humiliée de la sorte ?
— Non Monsieur. ...