La déchéance d'une Demoiselle (5)
Datte: 06/03/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Qazar, Source: Xstory
... en avoir. Je pris ma ceinture et me mis à fouetter à nouveau ses chairs déjà tant meurtries. Je ne l’épargnai pas, frappant tout son corps de manière assez appuyée. Mais toute masochiste et endurante qu’elle était, cette dernière séance fut sa limite et je le vis bien vite. Bien qu’elle luttait pour endurer mes assauts avec toute la volonté du monde, son corps en avait déjà trop subi et je préférai rapidement stopper mes coups. Voyant que je m’arrêtais pour la préserver, elle s’excusa :
— Je suis désolée, Monsieur, j’ai essayé, vraiment. J’espère que ça vous a suffi ?
Pour toute réponse, elle reçut mon sexe durcissant en bouche, elle l’avala bien volontiers et, maintenant d’une main sa tête là où elle devait être, je fis trois pas à reculons pour venir m’asseoir sur le lit, l’entraînant à ma suite. Je la laissai ensuite à son art, qu’elle connaissait fort bien d’ailleurs, jusqu’à ce que mon vit fût suffisamment développé pour remplir sa bouche puis je la fis monter sur le lit, l’allongeai sur le dos, tête dans le vide et commençai à lui baiser la bouche.
Je n’eus aucune attention pour elle, ravageant cette cavité qui avait visiblement plus l’habitude de pratiquer la fellation que de la subir. Chaque main tenant un amas de cheveux comme si c’était des couettes, j’imposai mon rythme en elle dans un mélange de bruit guttural, de bave et de larmes, cherchant à aller toujours plus profondément dans cet antre récalcitrant. Avec ses mains sur mes fesses, je pouvais ...
... parfois sentir les ongles de la pauvrette s’enfoncer dans mon fessier, m’indiquant par-là que je restais trop longtemps ou trop profondément en elle, mais tout à mon plaisir, je n’y prêtais guère attention et ce n’était qu’une fois tout son corps crispé et mouvant que je concédai enfin à me retirer pour la laisser respirer ou plutôt tousser un instant ; puis je recommençais. Une fois redevenue bien dure et satisfaite de mon traitement, je me retirai complètement et admirai l’état dans lequel je l’avais mise.
Sa bave coulait sur son visage jusqu’à ses cheveux, recouvrant ses joues, ses pommettes et ses yeux, se mêlant aux larmes à tel point qu’on ne pouvait plus distinguer l’une de l’autre.
— Tu veux toujours que je te remplisse la chatte avec ça ? dis-je en indiquant ma verge dressée.
Encore hébétée et toussante, elle ne put répondre qu’en opinant de la tête. Je lui essuyai alors le visage avec un bout de robe encore immaculée, mis une capote et m’allongeai sur elle pour l’embrasser. Plongeant lentement mon glaive dans son fourreau si chaud, si humide, et surtout si accueillant, je lui fis ensuite l’amour de la manière la plus simple qu’on puisse imaginer. Ce fut tendre, ce fut délicat, ce fut attentionné et ce fut surtout excessivement bon et, bien qu’il n’y eut ni humiliation ni douleur, nous ne tardâmes pas à nous envoler vers l’extase dans un brouhaha de soupir de plaisir.
Une fois fini, nous restâmes un long moment entremêlés, à tel point qu’elle sombra dans le ...