1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1521)


    Datte: 03/03/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... voire financiers, que sais-je encore…, sachez que vous pouvez m’appeler pour convenir d’un rendez-vous. Je saurai vous aider, j’apprécie les jeunes qui, comme vous, entreprennent ! L’avenir économique doit être perpétué par la jeunesse telle que vous ! Et la prospérité de la région beaujolaise m’importe beaucoup…
    
    - Merci Monsieur le Marquis ! disais-je d’un air embarrassé mais sincèrement respectueux.
    
    Le Marquis d’Evans me glissait une carte de visite que je m’empressais de mettre dans mon portefeuille. Puis, d’un pas distingué et lent, il se dirigeait vers la porte de sortie après avoir réglé sa consommation, laissant un gros pourboire avec un billet de 100 euros déposé sur le bar. René voulait lui rendre la monnaie, mais le Châtelain lui fit comprendre d’un simple geste qu’il pouvait garder ladite monnaie. Ensuite d’un seul claquement de doigts, Monsieur le Marquis sortait de l’immobilité parfaite celui qui l’accompagnait. Ce dernier se précipitait pour lui ouvrir la porte. Tous deux repartaient dans une voiture sportive, une jaguar dernier cri… Sur la route du retour, je ne pouvais m’empêcher de penser à cette rencontre inattendue. Le Marquis d’Evans d’abord, un homme altier, ayant sans doute une personnalité dotée d’un prestige, d’une aura et d’un pouvoir de séduction exceptionnel, d’un charisme visiblement hors norme. Ce qui m’avait impressionné le plus était ses yeux bleus clairs, avec un regard changeant, tantôt pénétrant et perçant, voire hypnotique, tantôt ...
    ... dédaigneux, tantôt flamboyant, tantôt bienveillant. Et puis, il y avait cet homme qui était resté silencieux, impassible, comme inanimé ou pétrifié, obéissant seulement à ce claquement de doigts. Il semblait parfaitement soumis et heureux de l’être. Je me surpris même à l’envier ! Depuis toujours je ressentais intimement ce besoin de discipline, d’humilité et de résignation… Cette rencontre venait de réveiller intérieurement tout cela et à vitesse grand V, car je me surpris à être émoustillé au niveau de mon bas-ventre et bien malgré moi.
    
    L’après-midi, je partais à Villefranche sur Saône, chez un caviste réputé pour y acheter une bouteille de beaujolais vinifié et élevé au Château d’Evans. Je voulais gouter ce vin que Fabien m’avait dit délicieux. Le caviste m’en faisait l’éloge, me donnait quelques conseils pour la dégustation, me disait que le Marquis d’Evans avait recruté, depuis une dizaine d’années maintenant, un vinificateur hors pair qui savait mettre en évidence des arômes subtiles, mêlant sucrosité, acidité et tanins pour obtenir de merveilleuses sensations veloutées en bouche.
    
    - Vous ne serez pas déçu, jeune homme ! Le prix était assez conséquent, onéreux mais la grande qualité se paie
    
    Dans la voiture me ramenant à la bastide, j’étais à la fois fébrile et excité, une excitation psychique autant que sexuelle, et ce pour au moins deux raisons. La première, je venais de décider de faire un crochet par le village voisin pour essayer d’entrapercevoir le Château du ...