1. «Trioraux»


    Datte: 02/03/2023, Catégories: fplusag, jeunes, piscine, douche, pied, Oral hdanus, initiat, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... une belle à vous raconter…
    
    Je leur raconte notre petite discussion à mon boulot, sauf la fin bien sûr, mais les filles ne sont pas dupes. Ce coup-ci, je fais attention à ne pas m’emballer, guette leurs réactions, et ajuste en fonction. Marie-France se marre, Fabienne tique un peu, insulte directement sa sœur, mais se fait tancer par la maîtresse de maison, qui lui demande de lui faire un portrait de sa sœur aînée. Elle aussi a vécu une fratrie heureuse, et a comme moi du mal à comprendre une telle haine.
    
    Eh bien, le tableau n’est vraiment pas ragoûtant pour l’absente, elle a vraiment été une putain de peste pour sa cadette pendant des années. Brimades, mauvaises blagues, sévices… Mais avec Marie-France, on est tous les deux conscients de ne connaître qu’une seule version de cette histoire…
    
    Du coup, on complote pour d’une part la punir, et qu’elle fiche définitivement la paix à sa cadette. S’il est d’accord, on met Akim dans le coup. Fafa milite à fond pour que ce soit lui qui s’occupe d’elle : elle ne veut pas de ma queue dans le joli petit cul de sa grande sœur « Pasque je sais comment tu t’y prends, et elle va adorer ça, c’est sûr et certain, hein Marie ? »
    
    Marie-France acquiesce de la tête avec un clin d’œil en rigolant. Aux cafés, j’essaie d’argumenter dans une longue diatribe que si je fais prendre son pied à Sandrine, ça la décoincera sur le plan sexuel, son fiancé sera comblé, du coup fini la jalousie, l’amour arrangera tout, et qu’elle deviendra super ...
    ... gentille dans le monde enchanté des Bisounours. Ça ne loupe pas : je me ramasse plein de boulettes de pain dans la tronche. Fabienne vient même me faire mine de m’étrangler en rigolant. Je m’enfuis en plongeant dans la piscine.
    
    Quand je ressors, elles vont se baigner, on se croise à l’échelle dans un regard qui traîne. C’est dommage, mais pas grave, je me répète ce mantra dans ma tête :
    
    — N’attends rien, n’attends rien.
    
    Et je vais bronzer sur une chaise longue à l’ombre. Avec la digestion, je m’endors, sur le dos.
    
    Je suis réveillé par une bouche qui m’embrasse, puis une autre, puis les deux ensemble. Je veux ouvrir les yeux, on me l’interdit gentiment, puis définitivement puisqu’on me les bande avec un foulard. Je suis partagé entre la satisfaction et l’appréhension, surtout quand on me fait tomber mon short de bain à quatre mains. Je sens une bouche me gober, une autre tenter de le lécher l’anus. Je l’aide en relevant mes jambes pour mieux m’offrir. À sa longueur de langue, je sais que c’est Fabienne qui s’en occupe pendant que Marie-France me suce.
    
    J’ai envie de les caresser, mais Marie-France me l’interdit :
    
    — Apprends à te laisser faire !
    
    Je l’écoute donc, même si ça me frustre, ça aussi. Et je comprends que ça fait partie du jeu, de mon apprentissage d’amant, de parfois rester totalement passif.
    
    Oui, c’est délicieux, mais j’ai vraiment envie de voir mes deux amoureuses, j’enlève le bandeau. Elles sont un peu déçues, mais je garde cette idée dans la ...
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