1. «Trioraux»


    Datte: 02/03/2023, Catégories: fplusag, jeunes, piscine, douche, pied, Oral hdanus, initiat, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... pour vendredi soir, mon cher.
    — Sans dé-con-ner.
    — Mais si tu résistes, t’auras ta récompense, c’est promis !
    — Bon, ça va alors.
    — Évidemment, si tu crames ce qu’il y a au barbecue, t’as perdu aussi. Et ici, le bœuf c’est saignant !
    
    Je retourne m’occuper de mon feu, en passant prendre à boire au frigo. C’est cool, il y a de la vraie bière de trappiste, non pasteurisée, le mari remonte immédiatement dans mon estime. De temps en temps, je vais les voir. Elles sont en 69, toujours en bikini, mais culotte de côté et sexes à l’air, j’observe comment elles font pour se donner du plaisir. Une ficelle sort de la chatte de Marie-France, OK j’ai compris. En fait, elles y vont beaucoup moins fort que moi, légères et très actives à la fois, et sont très portées sur le clitoris. C’est nettement plus intéressant qu’une scène lesbienne de film de cul, si on ajoute avec cela le bruit, et l’odeur. Ce qui est vraiment sympa, c’est que quand elles remarquent ma présence, elles me sourient. C’est cool, aujourd’hui je ne suis pas ignoré. Et dans ma tête, je me jure de me « venger ». Néanmoins je vais couper des fleurs de laurier rose, roses, pour décorer leurs assiettes.
    
    Quand je lance les brochettes, je les préviens, car il faudra quelques minutes à peine. Les deux se mettent alors à faire des vocalises très chouettes à entendre. C’est prêt à servir, je n’entends plus rien, dans le salon elles se câlinent encore, complices. Du coup j’attrape Marie-France et la fous à l’eau. Fafa, pas ...
    ... folle, y va d’elle-même. Moi aussi, du coup. On se trempe juste pour se rafraîchir (gaffe au tampon), et c’est à peine séchés qu’on se met à table. Les dames remarquent leurs assiettes garnies, et viennent me faire un beau bisou : le visage d’une femme à laquelle on offre des fleurs, c’est trop beau, et là, j’en ai deux ! Je reste à la bière (trop bonne) et les filles sont au rosé. La maîtresse de maison joue ensuite au critique culinaire, pour de rire. Ouf, elle est plutôt satisfaite.
    
    — Félicitations jeune homme, t’es bon à marier.
    — Fafa aussi : elle sait faire couper la viande et son flan de légumes est di-vin. Comment tu trouves la cuisson, chérie ?
    — Eh bé, moi aussi j’aime quand c’est sanguinolent ! Nickel chef !
    — Je savais que t’es une carnassière grise, une panthère, une prédatrice. En tout cas, sans vous mettre la pression, mesdames, je trouve qu’avoir accompli ceci dans ces conditions particulièrement difficiles mérite salaire, et gros pourboire !
    — Pour… boire ? Ça me va ! répond Marie-France !
    — Quand est-ce que débarquent ton mari et ta fille ?
    — Après dîner. Souvent ils reviennent par Andorre. Pour éviter les embouteillages et faire quelques achats. Et Nadège aime bien quand son père conduit vite en montagne. Moi, je déteste.
    — De toute façon, dit Fabienne, on va partir avant : j’ai envie de manger avec mes parents.
    — Et avec ta sœur aussi ?
    — Gné gné gné, petit con, toi t’as le don pour chercher les ennuis.
    — À propos de Sandrine, ta sœur, j’en ai ...
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