1. «Trioraux»


    Datte: 02/03/2023, Catégories: fplusag, jeunes, piscine, douche, pied, Oral hdanus, initiat, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... tête : être aveuglée, c’est sans doute un kif de meuf. Le spectacle est magnifique, un vrai plan de cinéma : elles sont toujours en bikini, de haut en bas je vois le visage fermé de Marie-France qui me pompe, et les yeux de Fafa qui me fixent. Son doigt pénètre lentement mon cul. Huhuhu c’est bon, la vache !
    
    Je suis chaud comme la braise, trop envie de les prendre. Je me relève, embrasse Marie-France :
    
    — Viens, j’ai envie de toi.
    — Pas possible, mon chéri, cucul mâché !
    — Pareil pour moi, ajoute Fabienne. Mâchée, et des deux côtés !
    — Laisse-toi faire, interdit de bouger !
    
    Je les regarde donc s’activer sur mon sexe et mon anus, notamment Marie-France qui, elle aussi, goûte mon trou. J’ai beau résister, quatre mains et deux bouches, c’est trop pour une seule queue. Et je découvre la jouissance sans avoir fait un seul effort. Ça fait un beau petit geyser entre leurs deux beaux visages. C’est extrêmement bon cette impression de vide, de ne plus sentir du tout son propre sexe ! Elles me nettoient, se bagarrent pour récupérer ma semence, c’est marrant.
    
    Cet orgasme m’a filé la pêche. J’ai envie d’honorer notre hôtesse. Je relève le dossier, y installe Marie-France. Elle veut toujours me pomper, donc j’enjambe la chaise longue, en plus elle me branle juste parfaitement. À un moment, elle me mord sans faire exprès : Fafa s’est attaqué par surprise à sa chatte (par chance, Marie-France n’a pas de règles abondantes, et sent très peu). Pour me venger (l’excuse à deux ...
    ... balles), je tire son téton et j’essaie d’aller au plus profond de sa gorge. Dès qu’elle peine, je m’arrête, mais elle me fait « oui, vas-y, t’inquiète pas, c’est bon » de la tête en me regardant et m’encourage en posant des mains sur mes fesses. Elle sue, elle suffoque, elle subit, c’est beau. Il est temps de la faire mourir.
    
    — Vas-y, Fafa, finis-moi cette salope.
    
    Encore un peu en forme, j’y vais super lentement, mais bien profond en bloquant virilement ses bras avec mes mains, pendant que j’entends ma meuf la dévorer littéralement. Soumise, entravée, Marie-France rend les armes peu de temps après, je la maintiens plaquée pour pas ameuter le quartier.
    
    Elle est radieuse et bien calmée, je lui caresse son visage avec mon gland puis mes lèvres. Fafa vient lui baiser le cou, puis je lui cède ma place dans sa bouche. L’embrassée pleure un peu, mais avec Fafa on sait désormais qu’elle est comme ça des fois.
    
    J’aime bien mon rôle de maître de céré-orgie. Je remets mon short, choppe ma Fafa par les cheveux, mais gentiment et sans lui faire mal, et la mets à quatre pattes sur la chaise. Elle est surprise de cette petite brutalité, mais consentante !
    
    — Deux langues pour toi toute seule, ça te branche, ma petite cochonne d’amour ?
    
    Elle répond en écartant sa culotte, et ses fesses des deux mains. En effet, son anus est un peu gonflé, mais ses lèvres sont déjà blanches de mouille, et son vagin ouvert ; comme moi, ça l’excite à fond de donner du plaisir !
    
    On commence chacun ...
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