1. Anne au Congo


    Datte: 03/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... moindre défense abandonnait son corps à son sort, toute concentrée sur sa survie.
    
    La saillie du chef ne dura pas longtemps, trois minutes à peine et il se répandit en elle en grognements hargneux et satisfait.
    
    " Te voila baptisée au jus de nègre la blonde! Je vais te laisser à mes hommes maintenant! "
    
    Et dans un éclat de rire hystérique, il s'en alla laissant Anne aux mains des deux soudards.
    
    *
    
    Les deux hommes firent descendre la corde et libérèrent ses mains, ils savaient bien qu'à ce stade il n'y aurait plus de rébellion de la part de leur victime. Ils libérèrent aussi ses pieds tout en palpant son entrejambe et en fouillant son sexe encore dégoulinant du sperme de l'autre dogue. Ils riaient et échangeaient des propos obscènes dans leur langue qui laissaient Anne dans la plus grande indifférence. Elle ne pensait qu'à se protéger le plus possible, et comment le faire sinon en étant le plus docile possible. Elle savait bien que de toute façon ils arriveraient à leurs fins, autant éviter tout ce qui pourrait les fâcher, elle en avait fait la cruelle expérience, ses fesses la brûlaient encore et la moindre rébellion pouvait se révéler catastrophique pour elle. Aussi se résigna t elle à les suivre. Ils la conduisirent dans une sorte de casernement où des hommes assis par terre discutaient en buvant et en mangeant. A leur entrée les têtes se tournèrent vers eux et il y eut un bref silence suivi d'une espèce ovation qui résonna sous le haut plafond de la chapelle, ...
    ... car c'était bien une chapelle dont il s'agissait. Les hommes se levèrent et se pressèrent contre les arrivants, chacun voulant toucher la blonde, mille mains se tendirent vers les seins d'Anne, vers ses cuisses ses fesses et son sexe. Anne serra les dents, fermant les yeux pour s'extraire en pensée de ce magma hurlant qui la pressait de toute part. Elle eut mal partout, ses fesses à vif la faisaient atrocement souffrir et les mains qui la palpaient avivaient ses plaies. Se seins furent pressés de toute part, des doigts lui tiraient les tétons les pinçaient à lui faire mal, Anne gémissait sous toutes ces violences simultanées, essayant d'esquiver, mais comment échapper à une armée de frelons.
    
    Il y eut des cris encore, ils en vinrent aux mains, se battirent pour la blanche, certains la menacèrent même de leur arme pour faire du chantage à leurs compagnons. Le pugila dura de longues minutes pendant lesquelles Anne fut ballottée de mains en mains, avant qu'un noir immense n'intervienne et écarte de ses mains en battoir la plupart des protagonistes. Ils reculèrent avec respect et laissèrent passer le grand mandingue qui fendit la foule pour arriver devant Anne.
    
    Il avait la peau plus cuivrée que ses congénères, ses traits étaient moins négroïdes, Anne admira furtivement sa musculature naturelle qui ne devait rien aux salles de gym. Il la toisait de ses deux mètres de haut, d'un regard surpris et étonné, semblant lui demander muettement " Que viens tu faire dans cette chambrée? ...
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