1. Anne au Congo


    Datte: 03/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... peau claire.
    
    " Emmenez là à coté! "
    
    Aussitôt les deux sbires se saisirent d'Anne et la poussèrent dans une pièce contiguë, plus petite et plus sombre. Sans ménagement, ils lui arrachèrent les derniers lambeaux de robe qui la couvraient encore et lui lièrent les mains devant elle. Puis ils lui écartèrent les jambes, nouant chaque cheville à un anneau scellé dans le sol. Ensuite, ils passèrent une corde entre ses poignets liés et par l'intermédiaire d'une poulie, ils hissèrent la corde remontant ainsi les deux bras liés de la prisonnière au dessus de sa tête jusqu'à lui tendre les bras bien haut. La poulie n'étant pas juste au dessus de son corps mais un peu en avant d'elle, Anne du se cambrer pour suivre le mouvement ascendant de la corde. La position était éminemment inconfortable et terrorisait plus encore la jeune femme, sa peau se couvrit d'une pellicule de sueur luisante et elle frissonna de tout son être.
    
    Le dogue réapparu et vint se planter devant elle, il la regarda de la tête aux pieds et ricana. Il passa sa badine le long de son corps et entre ses cuisses, insistant sur son sexe tout en la regardant d'un air ironique.
    
    " Alors, tu ne sais toujours pas où il travaille ton homme? "
    
    " N....non " répondit elle en baissant la tête, déjà très éprouvée par la position qui la fatiguait énormément.
    
    Le coup de fouet la fit tressaillir et la surpris par sa soudaineté, tout son corps regimba sous la morsure de feu.
    
    " Je répète, où travaillait ton mari?! ...
    ... "
    
    " Je vous assure que..... "
    
    Le feu du fouet embrasa les fesses d'Anne et elle eut une première défaillance, ses jambes refusant de la supporter. Le dogue dit deux mots à ses sbires qui sortirent de la pièce et revinrent avec un seau d'eau qu'ils balancèrent sur Anne. Celle ci eut un hoquet et poussa un cri revenant à elle. Les soudards l'aidèrent à se redresser non sans se priver de lui palper les seins au passage.
    
    L'interrogatoire se poursuivit sans que Anne ne puisse en dire davantage. Les coups pleuvaient lui meurtrissant les reins. Plusieurs fois elle tomba, à chaque fois un seau d'eau la réveillait brutalement ensuite les mains des soldats sur elle et on recommençait.
    
    Le jeu cruel dura environ une heure au bout de laquelle le dogue lâcha prise, mais Anne n'était au bout de son calvaire. Il fit redescendre un peu ses bras de façon à lui donner plus d'équilibre et la regarda, satisfait. Il grogna et avança sa main entre ses cuisses lui palpant durement le sexe, introduisant ses doigts boudinés dans l'entre intime et fouillant ses entrailles. Il lui palpa les fesses aussi, comme on flatte la croupe d'un cheval, évalua son corps et passant derrière elle, il défit sa braguette, sortit son sexe et le guida entre les cuisses de la jeune suppliciée. En trois mouvements de son bas ventre il s'introduisit en elle avec un soupir satisfait, il la besogna de coups de reins puissants qui la propulsait en avant et faisait dodeliner sa tête en mesure. Anne, incapable de la ...
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