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Anne au Congo
Datte: 03/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byJipai, Source: Literotica
... qu'avec leur épuisement. Plusieurs fois elle avait perdu connaissance tant elle souffrait et sous l'effet de la peur aussi, son corps avait préféré ignorer les sévices qu'il subissait. Au matin, d'autres hommes étaient arrivés. Il y avait eu une grande palabre et des cris de fureur. Visiblement, des gradés n'appréciaient pas le comportement de leurs soudards et elle avait été délivrée de ses liens, autorisée à se laver, mais elle restait leur prisonnière. Les gradés repartis, les hommes ont repris leurs exactions, elle fut encore prises par plusieurs d'entres eux mais ils semblèrent se lasser d'elle et finalement ils la laissèrent en paix. Mais elle était dans un état hystérique épouvantable proche de la folie et qui glaça le sang d'Anne. Les deux américains étaient blottis l'un contre l'autre, difficile de les approcher et de perturber leur intimité qui résonnait comme un adieu qu'ils se faisaient. Sans illusion sur leur sort apparemment. Ils se parlaient à l'oreille, parfois ils esquissaient un sourire à l'évocation d'un souvenir mais tout cela sentait l'adieu définitif et ils voulaient profiter seconde après seconde du temps qui leur restait à être ensemble et à vivre. Les deux autres femmes respectèrent cette intimité jusqu'à ce que la porte s'ouvrit violemment et que deux hommes vinssent prendre brutalement l'homme par les bras et l'emmène vers son destin. L'américaine poussa une longue plainte et se mit à sangloter sans fin tandis que Michelle et Anne ...
... s'approchaient d'elle pour la réconforter. Elles ne revirent pas l'homme de la journée qui leur sembla interminable. Le seau était vide depuis longtemps et la soif les tenaillait. A la nuit tombée la porte fut à nouveau ouverte et deux hommes vinrent se saisir d'Anne et l'emmenèrent. Ils la tenaient chacun par un bras fermement au point de lui faire mal, mais elle se garda de leur faire la moindre remarque. Ils la poussaient devant eux dans le dédale des couloirs avant de s'arrêter devant une porte. Un des hommes frappa et l'on entendit un grognement de l'autre coté. Le garde ouvrit et poussa brutalement Anne en avant, elle faillit tomber et se retint au bureau qui faisait face à l'entrée. Les gardes fermèrent le porte et restèrent derrière elle tandis qu'elle faisait face à un homme assis au bureau lisant une quelconque paperasse. Il ne leva pas la tête, continuant sa lecture. Anne nota qu'il était complètement chauve, assez âgé, sans doute la cinquantaine et assez corpulent aussi. L'atmosphère était lourde, un ventilateur tournait au dessus de leurs têtes apportant un semblant de fraîcheur qu'Anne apprécia à sa juste valeur. Enfin le gradé eut un soupir, il releva les yeux de sa lecture et considéra Anne de ses petits yeux perçants. Il la jaugea en une seconde avant de lui adresser la parole. " Dit moi ton nom " " Anne, .....Anne Bullet " Nouveau grognement du dogue. " ....et que faites vous ici? " " Je....j'accompagne mon mari qui... " " Ah! Un mari ...