L'Histoire mène à tout... (7) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (7)

... allons jouer ensemble. Mais je vais devenir le maître du jeu. Elles ont tendance à oublier que dans notre famille, si l’intelligence a été royalement distribuée, j’en ai hérité de la meilleure part. Et ce n’est pas peu dire.

Puisque les femmes de la maisonnée ont souhaité me manipuler en beauté avec l’accord tacite de notre père, je vais leur rendre la monnaie de leur pièce.

Mon piège s’est mis en place en trois secondes dans mon cerveau fertile en idées tordues. Je vais bien m’amuser à me jouer de mon paternel et d’elles trois. Car il est évident que je vais intégrer Vanessa dans cette histoire.

On va rire.

En arrivant vers le salon, j’entends ma mère et ma sœur. Elles ne discutent plus.

Les bruits qui me parviennent sont sans équivoque.

Elles ont remis ça. Elles ne perdent décidément pas de temps. Elles sont insatiables. Ma mère a donc dit la vérité lorsqu’elle parlait de ses besoins à assouvir. Et elle le fait bien avec ma sœur. Pas avec un amant. Je constate que leur entente est parfaite. J’ai été, de nouveau, parfaitement pris pour un idiot. Elles baisent bien ensemble depuis plus longtemps que ce qu’elles n’osent me l’avouer.

Je les regarde de nouveau. Ma sœur est à quatre pattes sur le grand divan, ses seins pendant sous son corps. Ma mère lui lèche le sexe tout en lui écartant les fesses. Et elle semble apprécier, car les sons de sa bouche sont explicites.

— Mmmmh... maman. Encore. Entre ta langue dans ma chatte !

Caroline agrippe alors ...

... son sein gauche et le malaxe en ondulant lentement, comme pour faire pénétrer plus en avant la langue maternelle dans son sexe.

Ma mère, toute à son ouvrage, passe aussi une main sur son sexe et se masturbe allègrement tout en prodiguant une divine succion à sa fille.

Tout à leur affaire, elles ne me remarquent absolument pas. Ma sœur ayant les yeux fermés et ma mère, les siens dans le giron de ma sœur.

Je passe derrière elles silencieusement, et je m’assieds dans le fauteuil libre.

Je peux alors admirer le merveilleux fessier de ma mère, balançant au rythme de ses caresses. Je remarque son index entrer dans son vagin et en ressortir régulièrement. Le bruit causé par ce geste est tout simplement obscène, fascinant et terriblement bandant. Ma mère mouille comme une pucelle devant sa première bite. Elle en veut, visiblement.

Ma queue reprend alors, pour la première fois depuis ma sortie tonitruante, des proportions agréables.

Ma mère en profite, maintenant qu’elle est plus dilatée, pour s’enfiler trois doigts au fond de la chatte. Je ne vais pas tenir très longtemps si elle continue ainsi.

Sortant ma queue de mon boxer, je me caresse au rythme de la main maternelle.

Je penche un peu la tête et remarque que ma sœur semble apprécier puisqu’elle tire son téton vers le bas en encourageant ma mère

— Plus fort maman, baise-moi. Mets-moi un doigt dans la chatte et masturbe-moi, s’il te plaîîît... je vais jouiiiir.

Obéissant à la demande, ma mère détache sa ...