1. Rencontre sur pare-chocs


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ff, voiture, Oral fdanus, Auteur: Nicola, Source: Revebebe

    ... Jean, y glisse un doigt et l’attire. Elle fait mine de résister. Je la prends à son propre jeu, renouvelant le « au revoir, à demain » auquel elle ne s’attendait pas. Elle reste devant moi, et dans un mouvement connu que d’elle seule, elle me saisit fermement la tête et enfonce profondément sa langue. Elle virevolte dans ma bouche, telle une abeille qui ne sait sur quelle fleur se poser pour en butiner le cœur.
    
    Je ne la laisse pas maître du jeu. Nos lèvres toujours soudées, je défais un à un les boutons de la chemise qu’elle porte sous sa veste. Ma main s’insinue sous l’étoffe et prend possession de son sein. La pression que j’exerce sur son téton la fait reculer pour mieux se ressouder à ma main. Elle fléchit les genoux, presse son bassin sur mes jambes qui pendent en dehors du capot. Elle quitte ma bouche pour s’emparer de mon oreille, sa langue chaude y trace des arabesques sinueuses sur le lobe. Caresse qui m’excite entre autres choses. Je passe un doigt dans la boutonnière de son pantalon et fais sauter le premier bouton. Le deuxième suit le mouvement de son compagnon de braguette.
    
    Une fois celle-ci entièrement ouverte, ma main s’infiltre à l’intérieur. Frôle la peau de son ventre qui se contracte sous la caresse. Elle le projette en avant, vient à la rencontre de mes doigts qui cherchent à se frayer un passage dans l’espace étroit qui sépare son ventre du pantalon. Ils trouvent enfin l’accès à son clitoris. Mon doigt effleure le bourgeon renflé, attise le bouton ...
    ... par un lent va-et-vient, puis s’arrête. Un cri lui échappe, je la regarde et m’empare de sa bouche, sans que ma main quitte le refuge de son entrecuisse. Ses reins oscillent au rythme de la caresse. Cette dernière se fait plus précise. Moi sur le capot, elle, debout face à moi, ne fait qu’empirer l’envie que j’ai de la prendre ainsi.
    
    Je cherche l’entrée de la grotte qui cache la source, et y enfonce deux doigts. Surprise, Valérie se mord la lèvre supérieure. Je la pénètre avec une lenteur calculée, mais l’ardeur est aussi au rendez-vous. Mon mouvement s’accélère, la femme que je tiens à ma merci, et dont les genoux tremblent, jouit en un râle qu’elle étouffe dans mon cou. Elle y laisse sa trace. La marque de ses dents. Elle relève doucement la tête, son regard est trouble. Elle sort de sa poche de veste son paquet de clopes. Allume une première cigarette qu’elle me met d’office dans le bec. Prends la seconde dont elle inhale la première goulée très longuement.
    
    Elle me sourit, explique que c’est la première fois qu’elle vit un truc de ce genre. Qu’elle ne s’attendait pas à ce genre de comportement de sa part. Je lui réponds que moi aussi je n’avais encore jamais fait l’amour sur un capot de voiture. (Et quelle voiture !). Nous fumons, elle m’observe, et j’ai l’impression qu’elle scrute mon esprit de façon muette, mais qu’elle le scrute c’est évident. Elle s’interroge, je le sens, c’est palpable. Je reste à la regarder exhaler la fumée bleue. Je jette un œil à ma montre, ...
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