1. Beau-papa et Co - Chapitre 3 : À quatre, on prend notre pied.


    Datte: 23/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Charime, Source: Hds

    ... attends, mes belles écolières du cosmos.
    
    Elle nous montre un rayon nettement plus en adéquation avec nos tenues. C’est sexy et provoquant au possible, ce rayon. J’en profite pour envoyer le même message et l’adresse à nos hommes. Je sais déjà qu’ils vont tout laisser tomber pour nous rejoindre, ces enfoirés de baiseurs. Mariko nous choisit une tenue très, mais alors très moulante. Avec ses petites ouvertures, je sais que nous allons faire de nos hommes, des moutons très dociles. Dans la cabine, Elisabeth nous déshabille, ses douces mains sont jouissives sur nos minous, nos seins. Nos bouches se font lascives quand nous nous embrassons, toutes les trois. Le courant passe et passe plutôt bien. On m’aide à enfiler cette tenue, cette seconde peau. Je me sens si bien que je n’ai plus l’envie de la retirer et je me mire encore devant un miroir qui reflète une image de moi, sublime. Les mains de cette boutiquière sur mes épaules, je ne sais comment la remercier de m’avoir glissé sa carte dans ma longue chaussette d’écolière. Si, je le sais, mais là, je veux encore essayer d’autres vêtements du même genre, moulant. Mariko est sublime dans cette tenue. Entre nous deux, nos tenues, il y a juste une différence, la couleur. La sienne est bleu clair, la mienne rose bonbon. On se change encore, c’est tout aussi moulant, sauf que les ouvertures sont plus précises, sur mon sexe, mes seins. D’un simple geste et tous apparaissent comme le diable sortant de sa boite. En me retournant, ...
    ... Elisabeth la boutiquière enfile une tenue encore plus sexy d’écolière, courte, transparente, elle me plait, mais pas que, la femme qui la porte m’attire et attire Mariko. On la couche et on te la baise comme des salopes en chaleurs et c’est peu de le dire.
    
    Mais voilà, y a deux enculeurs qui arrivent et nous découvrent dans cet antre magique. Mon homme me possède, Christian possède sa future et nous voilà à baiser à cinq. Elisabeth ne semble pas dérangée par nos baiseurs. Du reste, on lui apprend qui est qui. Cela dit, lesbienne, elle ne veut pas d’un homme en elle, ce que nous respectons, Mariko et moi et même nos hommes. Après que nous ayons tous pris notre pied, on en revient aux essayages sous le regard de nos baiseurs. De leurs pouces, ils nous disent si ça leur plait ou pas. Faut reconnaitre que s’ils continuent le pouce en haut, ils vont avoir des crampes, LOL. En toute fin de journée, nous quittons Elisabeth avec la ferme promesse de nous revoir dans sa boutique. Son cadeau sous nos bras, des achats au bout de nos mains, on l’embrasse amoureusement. Elle se laisse même convaincre par nos hommes très respectueux de son orientation.
    
    - Tout compte fait, vos hommes, ils semblent bon amant.
    
    - Et tu es à des années lumières de la vérité, belle boutiquière. Dans leur genre, ce sont des cadors, des pros de la bite. Ils aiment à nous faire jouir avant de prendre leur pied en nous remplissant.
    
    - Ok, je note. À bientôt mes belles.
    
    De retour, on leur fait un petit défilé ...
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