1. Beau-papa et Co - Chapitre 3 : À quatre, on prend notre pied.


    Datte: 23/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Charime, Source: Hds

    ... baisons plus que de raison. J’aime baiser avec Mariko. Ce qu’elle me fait, enfonçant ses deux mains dans mes trous, c’est me faire jouir en me mettant proche de l’évanouissement. Décidément, d’en avoir fait ma sœur de sang, c’est comme si nous nous étions épousées. Après cette sulfureuse valise, elle ouvre la bleue et la rouge. Les deux sont exactement identiques quant au contenu. Prenant un somptueux kimono, elle m’apprend qu’il est en soie précieuse et fait à mes mesures communiquées par son futur époux, le saligo. Sur moi, fraichement douchée par Mariko, il me va comme un gant. Je me mire dans ce miroir, les mains d’Mariko sur mes épaules, sa bouche sur ma nuque, un délicieux frisson me gagne. Je me retourne, émue par un si prestigieux présent. Elle me dit que ce n’est pas tout. Elle me dit que nous allons devenir les Geisha de nos baiseurs d’hommes. Oui, je suis partante et à donf. En japonaise, je me sens à l’aise près de ma Mariko d’amour. Où j’ai un peu de peine, c’est de marcher avec ces chaussures en bois. Elle rit ma japonaise, quand elle me dit avoir eu le même souci la première fois qu’elle chaussait des talons aiguilles de plus de 10 centimètres. Enfin, elle me sort une tenue de cosplay. Une tenue d’écolière des étoiles que j’enfile rapidement avec son aide. Il y en a même plusieurs et toutes sont d’un provocant que je dis chiche à ma Mariko. Chiche qu’elle me répond et nous sortons ainsi faire les courses dans ce quartier commercial, celui-là même où je ...
    ... rencontrais le père de mon aimé. Autant dire qu’on ne laisse personne indifférent, même que des hommes nous suivent partout où nous allons dans ce centre.
    
    On fait toutes les boutiques sans ne rien trouvé qui puisse rivaliser nos tenues. Au sous-sol, j’entraine Mariko dans ce sexshop qui nous a si souvent vu. Le gérant est là, si je le connais depuis qu’Alain et moi nous sommes ensemble, il peine à me reconnaitre. Quand je baise sa joue, que je lui dis bonjour, il me reconnait enfin, restant en béatitude devant nos costumes. S’il hésite, nous pas. On lui prend ses mains pour les mettre là où nous aimons, ma compagne et moi, sur nos minous tout humides. Je le vois enfin, ce vicieux personnage quand il nous plaque contre un mur pour nous peloter de partout. Mariko et moi, nous nous embrassons comme de chaudes et bouillonnantes salopes. On ne le laisse pas nous baiser, mais, on ne se gêne pas pour lui faire une turlute à deux bouches. Mariko, elle est réellement du même bois que moi. Même un peu plus si je la regarde sucer ce mec. Ensuite, nous remontons visiter les boutiques de lingeries fines et coquines. Mariko n’est pas une grande habituée de ce genre de boutique. Je la guide, lui montre ces dessous coquins à souhait. Elle tombe en admiration devant un ensemble fendu, oui, comme celui que j’aime à porter sous une courte jupe ou une courte robe. J’insiste pour qu’elle l’essaye, la guidant même dans une cabine. Je la regarde se dévêtir, l’aide, elle est réellement très belle. Ainsi ...
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