1. Beau-papa et Co - Chapitre 3 : À quatre, on prend notre pied.


    Datte: 23/02/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Charime, Source: Hds

    Chapitre 3 : À quatre, on prend notre pied.
    
    Y a deux mois que nous vivons dans le duplex de mon beau-père. Oui, je l’appelle déjà ainsi. Je porte une petite tenue que mes deux hommes m’ont offerte, une tenue de soubrette qui couvre que mon dos, mon ventre, mes épaules et laisse mon cul et ma poitrine, à l’air. Je fais le ménage pendant que père et fils répètent le prochain spectacle de mon Christian d’amour. Mon Alain a vite appris le fonctionnement d’une régie son et lumière. Je me plais dans mon rôle de salope docile. Quoique docile, pas tout à fait depuis que j’ai enculé mon Christian de ma main. Il aime à se laisser dominer et j’aime quand ils me dominent sexuellement en agrémentant le tout d’une bonne grosse fessée. Oui, j’aime ma vie de salope, c’est un fait.
    
    Mais aujourd’hui, un peu avant midi, je dois aller chercher celle que mon Christian va épouser, Mariko. Si je la connais, c’est à travers des photos, des bouts de vidéo et par le téléphone. À sa voix, je la sens déjà chaude. Et plus encore quand elle a su que c’était moi qui venais la prendre à l’aéroport. Alors, et rien que pour elle, je porte des bas auto-fixant, mes sandalettes à talon aiguille et un manteau qui ne m’arrive qu’à mi-cuisse. Dans ma voiture, je ne peux m’empêcher de me branler en chemin. Je connais son corps et il me plait. Je ne vous cache pas qu’elle sera ma première femme. Dans mon corps, je ressens déjà tout ce que nous pourrons jouir ensemble. Je me parque loin de tout, j’ai déjà ma ...
    ... petite idée bien salace derrière la tête. D’un pas pressé, je me dirige directement vers le terminal. Là, je ne cesse de fixer ce tableau. J’attends de voir apparaitre l’avion de Mariko. Je sens mon excitation grandir, elle coule même sur mes cuisses. Cela m’oblige d’aller me les essuyer aux toilettes et me branler. Puis, devant cette porte toujours fermée, je fais encore les cent pas. Je cherche à calmer cette excitation galopante. Je sens tout le poids des regards posés sur moi. Ces hommes qui semblent deviner ma nudité sous ce court manteau. Il me semble même entendre leurs pensées vicieuses. Ils s’imaginent tous me baiser, me violer, m’enculer ou même me fouetter pour ce gros porc qui me tourne autour. Lui, perso, je me verrais bien lui mettre mon genou là où je pense, suivez le guide ! Enfin l’avion de ma japonaise apparait sur le tableau. Il est pile à l’heure. Sur mon banc, sans croiser mes jambes, mes mains dans les poches de mon manteau, je me caresse discrètement devant les pensées et les regardes de ces gens. Après un moment, l’avion est au sol. Je respire un bon coup, je me sens rassurée. Cela dit, cela me fait aussi jouir. Je retiens de crier mon bonheur en me mordillant mes lèvres. Je crois que tous savent que je viens de jouir. Qu’importe, je suis debout, devant cette vitre, à guetter Mariko. Je ne pense pas avoir de peine à la reconnaitre tellement je connais son corps à travers les photos de mon Christian. La voilà, c’est elle, là, au fond. Oh putain quel ...
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